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« Il y a plusieurs motifs de satisfaction », a déclaré Boris Bouhraoua après le derby

Malgré l’ampleur du score, y a-t-il des motifs de satisfaction pour vous après ce derby ?

Oui, évidemment. Il y a plusieurs motifs de satisfaction. On a capitalisé sur ce qu’on a vu contre Dax en terme de notion de combat. J’ai trouvé que les joueurs, je dois leur donner un gros coup de pouce parce qu’ils ont été très, très combatifs. C’est l’image de notre équipe d’il y a deux semaines contre Dax, très, très combatifs. Je veux vraiment que ce soit notre fond de commerce toute l’année. Il faut qu’on soit l’équipe la plus agressive…

Malgré l’ampleur du score, y a-t-il des motifs de satisfaction pour vous après ce derby ?

Oui, évidemment. Il y a plusieurs raisons d’être satisfait. On s’est appuyé sur ce qu’on a vu contre Dax en terme de notion de combat. J’ai trouvé que les joueurs, je leur tire mon chapeau parce qu’ils ont été très, très combatifs. C’est l’image de notre équipe d’il y a deux semaines contre Dax, très, très combatifs. J’ai vraiment envie que ce soit notre fond de commerce toute l’année. Il faut être l’équipe la plus agressive et la plus combative à chaque fois. Là-dessus, on a mis les bons ingrédients. Dans les 30 premières minutes, on a mis beaucoup d’avancées et de vitesse pour gagner des espaces et aussi finir avec de gros plaquages. Je suis assez satisfait de la combativité des joueurs.

Malgré cette agressivité, vous craquez à chaque fin de mi-temps, avec 3 puis 2 essais encaissés dans les dix dernières minutes…

Ce qui est intéressant, c’est qu’encore une fois, le rugby, c’est avant tout de la précision. Si on manque de précision sur un ou deux gestes techniques, on est immédiatement pénalisé. C’est ce qui s’est passé contre une grosse équipe de Bayonne, contre qui on n’a pas le droit à l’erreur. Deux plaquages ​​un peu hauts, un plaquage qui n’est pas terminé à deux. Derrière, ça fonce et puis, en défense, ça va vite. C’est ce qui m’a plu aussi, c’est un rappel de la précision. Si on veut gagner des matchs de rugby contre des grosses équipes, il faudra être très précis. C’est ce que j’avais dit au retour du match. La précision aujourd’hui, c’est ce qui nous a manqué, puisqu’on était très engagés dans les choix de jeu, etc. Même si on aurait pu jouer un peu plus au pied en début de match, surtout avec les conditions, globalement, au rugby, tout était intéressant. Plus que les choix, c’est la précision des gestes techniques, qu’ils soient défensifs ou offensifs, qui nous a manqué.

« Nous devons être l’équipe la plus agressive et la plus combative à chaque fois »

L’équipe de départ de ce samedi sera-t-elle similaire à celle de vendredi (19h30) face à Valence-Romans ?

On avait évidemment des idées. Maintenant, on avait vraiment envie d’utiliser ces deux matches (Dax et Bayonne) pour construire. Donc, j’irai même plus loin que ça : les 15 de départ, oui, c’est sûr qu’il y en aura un qui affrontera Valence. Mais moi, les 15, ça ne m’intéresse pas. Ce qui m’intéresse, ce sont les 50. Mais vraiment, ce n’est pas de la langue de bois. C’est qu’aujourd’hui, oui, il y aura 23 joueurs, c’est sûr, qui affronteront Valence. Il y en aura 23 autres à Béziers. Et chaque week-end, il faudra construire l’équipe la plus compétitive. Et pour cela, on veut utiliser tous les joueurs. On ne va pas faire jouer un joueur pour lui faire plaisir. Mais les joueurs sont conscients qu’aujourd’hui, pour tenir une saison de Pro D2 et être performant, il faut faire confiance à tout le monde, à tous ceux qui le méritent. Et ça, on le fera. Donc, l’équipe de Valence ne ressemblera pas forcément à celle qui a débuté aujourd’hui contre Bayonne.

Inquiétude pour Dyer

Une absence qui pourrait coûter cher au Biarritz Olympique. Le deuxième ligne Johnny Dyer a dû quitter la pelouse d’Aguilera après 25 minutes de jeu face à Bayonne. Visiblement gravement blessé, l’international fidjien devra passer des tests pour déterminer la nature de sa blessure et son indisponibilité. Mais selon son entraîneur Boris Bouhraoua, « ce serait une blessure grave a priori ». Et il a ajouté : « Pour être honnête, c’est une grosse perte. »

Vous avez dû apprécier l’ambiance du retour du derby basque…

C’était super ! On a besoin de nos supporters, du stade Aguilera. Ils sont venus en nombre, je les remercie pour ça. Si on parle de l’aspect émotionnel, c’est extraordinaire de voir ces deux clubs amener, pour un match amical, plus de 10 000 personnes (12 500) au stade. Il y a des fans de rugby au Pays Basque. Je le savais déjà, mais c’est confirmé. Et si je me concentre vraiment plus sur Aguilera, nos socios, nos supporters, je les remercie vraiment d’être venus en nombre et d’avoir soutenu les joueurs parce qu’on savait avec certitude que ça allait être un match difficile. Donc de les voir venir nous soutenir dans la difficulté, c’est super. On en aura besoin cette année, donc merci à tous les supporters du BO aujourd’hui. C’était super. En plus, vous savez que je ne suis pas d’ici, donc de voir tous ces gens amoureux des deux clubs et du folklore basque autour, c’est très important, ça donne de la puissance pour lancer la saison.

Cammile Bussière

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