Jacques LeGros Bows ce vendredi, à 13 h TF1, après 27 ans passés comme Joker …
Un visage familier de TF1 quitte l’antenne ce vendredi 9 mai. Jacques Legros s’est incliné lors de son dernier journal à 13 heures. Un départ, annoncé pendant quelques semaines déjà, qui devrait être émotionnel. « Je connais mes petits camarades adorés, ils me concocteront des surprises, et j’ai peur d’être submergé par mes émotions », a-t-il déclaré à Télé Poche récemment, conscient du caractère solennel de ses dernières nouvelles télévisées vendredi.
Jacques Legros aura un mot pour les téléspectateurs qui l’ont trouvé par intermittence à la demi-journée pendant près de 27 ans, pendant les vacances scolaires et les vacances de Jean-Pierre Pernaut, alors de Marie-Sophie Lacarrau. « Je vais écrire quelque chose, parce que j’ai peur de perdre mes moyens. (…) Ce sera un exercice dans le cœur, simple, court, avec peut-être une touche d’humour », a-t-il déclaré.
Jacques Legros sera remplacé par Isabelle Ithurburu
C’est Isabelle Ithurburu qui assurera sa succession dans le fauteuil du journal du journal, des vacances d’été. Un choix très commenté, la partie intéressée venant du sport, et en particulier de Rugby sur Canal +, et depuis 2023 le visage du programme du programme 50 Inside sur TF1.

Plusieurs médias garantissent que le départ de Jacques Legros était dans les boîtes depuis longtemps. Les adieux ont même été sérieusement considérés par la première chaîne l’été dernier. Mais TF1 aurait préféré éviter la fenêtre des Jeux Olympiques et le public dantesque du concurrent France 2, afin de ne pas arracher l’arrivée d’un nouveau présentateur avec de mauvaises figures.
Jacques LeGros: « Il y a un moment, vous le ressentez (…), après les nouvelles que nous sommes un peu plus fatigués qu’avant »
Le journaliste de 74 ans dit qu’il a pris la décision de quitter son poste lui-même. Un choix très réfléchi, comme Jacques Legros l’a confié à la France ouest. « Ce n’était pas facile de prendre cette décision. Cela fait un moment qu’il faisait trotter dans ma tête. Je voulais avoir cette liberté de choix », a-t-il déclaré dans la vie quotidienne locale, disant pour éviter « le journal trop », un moment où il serait dit: « Vous avez pris un coup d’ancien ».
« Il y a un moment, vous le ressentez. Il y a des détails physiques: après les nouvelles, nous sommes un peu plus fatigués qu’auparavant. C’est aussi une évolution logique: je suis le dernier des Mohicans, il est temps de céder la place aux plus jeunes », a-t-il dit, fataliste. Une réflexion très réussie pour éviter un jour de prendre « moins de plaisir », de se sentir « moins à l’aise » ou de trouver « il est plus difficile de se lever le matin ».
Hors de la question, cependant, pour que Jacques Legros raccroche définitivement les microphones. « Je ne suis pas en mesure de m’arrêter », explique celui qui a commencé comme un simple journaliste en 1975, avant de gravir l’échelle sur TF1. Rester à la télévision, poursuivre la radio ou l’écriture sont des options. « J’ai toujours une idée pour un livre en tête », a-t-il également confié, sans révéler un plan concret pour l’avenir.