Il remporte le jackpot du loto : l'employé du magasin lui dit que son billet est faux, garde le morceau de papier... et réclame le pari
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Il remporte le jackpot du loto : l’employé du magasin lui dit que son billet est faux, garde le morceau de papier… et réclame le pari

Il remporte le jackpot du loto : l’employé du magasin lui dit que son billet est faux, garde le morceau de papier… et réclame le pari

l’essentiel
L’employé d’un magasin américain a volé un billet de loterie gagnant afin de récupérer les gains. L’intéressé a été interpellé et placé en garde à vue.

Les organisateurs de cette loterie ont eu affaire à un « joueur » pour le moins… Malhonnête. Aux États-Unis, un employé d’un magasin a usurpé un ticket gagnant pour réclamer le jackpot à la place d’un autre joueur. Les gains ? Pas moins de 25 000 $, selon nos confrères de Fox 12. Les événements ont eu lieu en septembre dernier dans l’Oregon. Un résident qui pensait avoir gagné à la loterie de l’Oregon s’est rendu dans un magasin « Short Stop » pour faire valider son billet. Devant lui, l’employé affirmait qu’il s’agissait d’un faux billet. Ni une ni deux, l’intéressé récupère alors le ticket du client… qui était en fait gagnant.

Le billet a été scanné et envoyé à l’organisation chargée d’organiser la loterie dans l’Oregon. Le document a été mis en attente. L’employé du magasin a fini par envoyer le ticket par courrier le 26 septembre, accompagné d’un formulaire dûment signé, pour réclamer son gain. C’était sans compter les contrôles effectués par l’organisme de jeu, qui a très vite identifié qu’il s’agissait d’un cas d’usurpation. « Bien qu’il soit rare de voir un individu malhonnête chez l’un de nos détaillants, nous avons la responsabilité de garantir que nos billets sont joués de manière équitable et intègre. Ces contrôles sont un moyen d’y parvenir », déclare Justin Hedlund, directeur adjoint de la sécurité. pour la loterie de l’Oregon.

L’employé a finalement été interrogé par l’inspecteur avant d’être mis en examen pour « vol aggravé » et « délit informatique ». Des accusations qui ont finalement été transmises au procureur du comté de Marion.

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