Divertissement

« Il n’y a jamais eu aucune rivalité entre Eva et Joy »

Yannick Vély
Mis à jour

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Dans Paris Match cette semaine, Marlène Jobert se confie sans artifice sur son parcours, le temps qui passe, l’homme de sa vie et ses plus grandes joies : ses filles et ses deux petits-fils.

Elle est l’une des actrices et voix préférées des Français âgés de 7 (ou plus de 3) à 77 ans. Marlène Jobert revient dans l’actualité avec un livre, « Panique chez lesswitches », illustré par Jérôme Pélissier, aux éditions Glénat. Elle s’est longuement confiée à Paris Match, évoquant le souvenir douloureux d’un grave accident de voiture en 1962. « J’avais une cicatrice de 13 centimètres sur le visage. J’ai à peine quitté la maison pendant un an pour ne pas me montrer. Heureusement, à l’époque, j’étais très amoureux de Claude Berri. Il y avait aussi un mélange de sérieux et de légèreté. », décrit-elle. Femme de cœur, elle a eu un coup de foudre en 1976 avec un chirurgien dentiste franco-suédois nommé Walter Green, avec qui elle vit toujours aujourd’hui. En 1980, à 40 ans, elle donne naissance à des jumelles, Eva et Joy.

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Elle regrette que ses filles bien-aimées soient « trop loin » d’elle

« La seule chose que je craignais alors, c’était d’être coincée dans les embouteillages parisiens et de devoir accoucher dans la voiture avant de pouvoir arriver à l’hôpital. Mais mes filles, déjà très gentilles, ont décidé de naître très tôt le matin du 6 juillet, pour qu’avec leur père nous puissions traverser un Paris complètement désert. » Comme beaucoup de mamans, elle regrette que ses filles bien-aimées soient « trop loin » d’elle.

« Eva vit en Angleterre, où elle mène une carrière d’actrice réussie, et Joy en Italie, où elle produit de délicieux vins en Toscane avec son mari Niccolo, tout en étant une mère exemplaire pour ses deux merveilleux petits garçons. » Eva et Joy, décrit-elle, ont « un caractère différent, mais elles ont en commun d’être sérieuses, travailleuses, réservées. » « La joie est cartésienne et organisée ; Eva est artistique et fantaisiste. Il n’y a jamais eu de rivalité ni de jalousie entre eux. Ils ont chacun leur propre univers. »

« Panique chez les sorcières », écrit et raconté par Marlène Jobert, illustré par Jérôme Pélissier, éd. Glénat. À paraître le 5 juin.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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