« Il était surveillé à tout moment », raconte un participant lors des deux soirées suédoises du joueur
Que s’est-il passé à Stockholm lors du bref séjour de Kylian Mbappé dans la capitale suédoise lors de la dernière trêve internationale ? Alors que le nom du capitaine des Bleus n’a pas été officiellement évoqué dans les accusations de viol relayées par la presse locale, et que les autorités suédoises n’ont pas communiqué depuis deux semaines, Aftonbladet relance un peu le dossier.
Le tabloïd suédois, à l’origine des premières révélations, a publié le témoignage, repéré par Le Parisiend’un participant présumé aux deux soirées organisées pour Mukiele et Mbappé. La jeune femme, qui a souhaité rester anonyme, a d’abord décrit une soirée presque bon enfant dans les locaux de la discothèque « V », où le joueur a passé une partie de la nuit. Il était accompagné d’une vingtaine de jeunes femmes « sélectionnées » sur une liste d’invités très privée, dont Maja (un faux nom). Voici son ressenti.
« Son équipe le surveillait en permanence »
« Je ne connais pas Kylian, mais l’image que j’avais de lui était qu’il était toujours très calme, humble, bien élevé et surveillé à tout moment. Son équipe le surveillait en permanence. « C’est l’image que j’ai de lui, et si ce sont de fausses accusations, je suis vraiment désolé pour lui, mais encore une fois, si c’est vraiment arrivé, c’est très grave. » La jeune femme précise qu’elle a dû laisser son téléphone portable à son retour et inscrire son nom sur une liste, une pratique inhabituelle pour cette habituée des soirées VIP à Stockholm.
Une deuxième partie de soirée plus floue
Cette première partie de soirée « normale » où « tout le monde se mélangeait et discutait » aurait suivi deux « after parties » dans la suite du joueur à l’hôtel Bank. Maja, qui affirme ne rien savoir de l’existence ou non d’un rapport sexuel forcé, a néanmoins perçu une ambiance un peu différente au moment de sa présence : « Beaucoup de filles étaient nerveuses parce que c’était lui (…) beaucoup de filles Les personnes impliquées se sentaient également mal à l’aise, et c’est vraiment, vraiment horrible si quelque chose se produit réellement.