histoire de footballeurs voyageurs, adeptes du « groundhopping » aux quatre coins du monde

Ils n’ont pas grand chose à faire là-bas mais ils font quand même partie du décor. Ici et là, au milieu de milliers de supporters, de foules locales et passionnées, ils se déplacent plus ou moins loin de chez eux, forcément à l’extérieur, parfois en terrain hostile. On les appelle les sauterellesqui viennent envahir les stades du monde entier chaque week-end,petites souris« venant de partout mais surtout d’ailleurs pour scruter les plus petites curiosités. »Groundhopper est l’occasion de rencontrer des gens de tous horizons et de comprendre comment une ville ou un quartier vit le football.explique Killian Bertrand, l’un des porte-drapeaux du groundhopping en France. L’objectif est de rencontrer des cultures footballistiques différentes de la nôtre pour découvrir les particularités de chaque forme de support..”

Contraction des termes «grounds» et «jump» en français, le groundhopping est apparu dans la culture footballistique britannique dans les années 70. Un terrain de jeu adapté avec ses dizaines de divisions et ses centaines de…