Hélène Ségara et son mari Mathieu : cette pratique qu’ils ont depuis longtemps et qui est rare dans un couple

Mariée depuis 2003 à Mathieu Lecat lors d’une sublime cérémonie en Corse, Hélène Ségara est devenue maman de deux enfants avec ce musicien : Matteo, né en 2003 et Maya, née en 2004 (elle était déjà maman de Raphaël, né en 1990 d’une précédente relation, ndlr). A 53 ans et mariée depuis plus de vingt ans à celui qu’elle considère comme l’homme de sa vie, la chanteuse a révélé lors de l’émission Retour en arrière avec Déborah Grunwald sur France Bleu les débuts de leur histoire d’amour digne des sérénades les plus romantiques.

Très respectueux de sa fiancée, Mathieu Lecat avait ainsi pris l’habitude de s’adresser à Hélène Ségara de manière solennelle. Souhaitant lui montrer à quel point il était sensible à ses charmes, il mettait un point d’honneur à ne pas brusquer les choses et à aller à son rythme. Elle expliquait : « Pour la petite histoire, j’étais célibataire depuis un an, c’était un choix, j’étais toute seule, j’attendais la bonne personne et, évidemment, la notoriété qui était très forte à cette époque, faisait que j’observais beaucoup les gens. Vous savez, mon mari et moi avons utilisé le vouvoiement pendant très longtemps. Parce qu’il y avait un respect et une construction de l’histoire qui faisait que, bon… Les gens sont trop impatients aujourd’hui, ils vont trop vite, ils ont construit des choses bancales.« .

Hélène Ségara a fait le premier pas

C’est Hélène Ségara qui a fait le premier pas pour avouer ses sentiments. « C’est fou, parce que j’ai dit dans une émission de télévision que j’avais fait le premier pas et le lendemain sur Internet, J’étais une cougar qui avait flirté outrageusement avec mon mari (…) Je ne lui ai pas dit ‘enlève tes vêtements, partons tous les deux' » elle s’est amusé.

Même si c’est elle qui a fait le premier pas, la chanteuse du titre Elle tu l’aimes a « testé« son mari pendant longtemps avant de lui faire vraiment confiance. « Le pire, c’était de ne rien lâcher, de ne pas donner confiance. Pour moi, ce n’était pas un droit, donc je ne l’ai pas donné immédiatement. J’ai d’abord attendu, observé, etc.. Il n’y avait aucune raison pour que je remette en question mes goûts, ma personnalité. elle s’est confiée avec une grande sagesse.