Ces chiffres sont plus élevés que les estimations précédentes de l’organisation, qui prévoyaient jusqu’à présent 4,7 milliards de voyageurs aériens en 2024. Et ils auraient pu être encore plus élevés si l’offre aérienne était revenue à son niveau d’avant la pandémie. : « De nombreuses compagnies aériennes ne peuvent pas survoler l’espace aérien russe (une mesure prise en représailles aux sanctions occidentales), ce qui rend les vols Europe-Asie très compliqués à opérer », rappelle Paul Chiambaretto, professeur à Montpellier Business School et directeur de la Chaire Pégase, dédiée à l’économie et au management du transport aérien et aérospatial.
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