France Inter
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L’humoriste de France Inter a été convoqué ce jeudi 16 mai à un entretien « en vue d’une éventuelle sanction disciplinaire » au cours duquel ont été énumérés les faits qui lui étaient reprochés. La sanction choisie devrait lui être communiquée en début de semaine prochaine.
C’était tout un cortège de membres de l’équipe de Super dimanche soir, Charline Vanhoenacker, Aymeric Lompret, la linguiste Laélia Véron ou encore le réalisateur François Audoin au mégaphone hurlant « Ne relâchez pas Guillaume Meurice ! au fond de Le compte à rebours final d’Europe, qui a accompagné l’humoriste jeudi en début d’après-midi au service des ressources humaines de France Inter. Deux semaines après l’annonce de sa suspension pour avoir répété sa blague à l’antenne «Nazi sans prépuce» concernant Benyamin Netanyahu, Guillaume Meurice a été convoqué à 14h30 pour un entretien préliminaire « en vue d’une éventuelle sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’à la rupture anticipée de (son) contrat à durée déterminée pour faute grave ».
Selon le délégué syndical SUD Benoît Gaspard, contacté par Libérer, la rencontre a duré deux heures, et l’humoriste ne devrait connaître qu’en début de semaine prochaine la sanction qui lui est réservée. Toutes les options sont encore ouvertes : dans l’éventail des possibilités, cela peut aller de l’abandon de la procédure à une commission disciplinaire pour statuer sur une éventuelle décision.
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