Dans une interview à la BBC, le président ukrainien est revenu sur la situation actuelle. Il accepte de s’asseoir avec la Russie à la table des négociations mais n’envisage pas de concéder de territoires. Il se montre également optimiste quant à un éventuel mandat de Donald Trump.
La pression sur Volodymyr Zelensky s’accroît de jour en jour. Alors que sa popularité décline, le chef de l’État ukrainien se retrouve désormais dans une situation où sa gestion de la guerre est de plus en plus critiquée par sa population et la classe politique ukrainienne. Son armée est incapable de reconquérir les régions prises par la Russie au prix de nombreuses vies. Concéder des territoires à son voisin n’est pas non plus une option.
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Pour tenter de clarifier la situation, le président ukrainien a accordé vendredi 19 juillet une interview à la BBC. Volodymyr Zelensky a indiqué qu’il était possible « si nous sommes unis et suivons, par exemple, le format du sommet de paix (…) de mettre fin à la phase la plus chaude de la guerre ». Le chef de l’Etat ukrainien dit vouloir « le faire d’ici la fin de cette année ».
Il avait récemment accepté que la Russie s’assoie à la table des négociations à venir sur un éventuel accord de paix entre Kiev et Moscou. « Cela ne signifie pas que tous les territoires (occupés par l’armée russe) doivent être reconquis par la force. Je crois que la puissance de la diplomatie peut y contribuer », a déclaré le président ukrainien.
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Concernant Donald Trump, Volodymyr Zelensky assure que son élection serait pour lui « un travail difficile, mais nous travaillons dur ». L’ancien président américain, candidat à l’élection présidentielle de 2024, s’est montré bien moins enclin à soutenir la cause ukrainienne, par rapport au duo Joe Biden – Kamala Harris. « Nous avons convenu avec le président Trump de discuter, lors d’une rencontre en face-à-face, des mesures à prendre pour une paix juste et durable » en Ukraine, a-t-il ajouté.
Alors que l’élection présidentielle ukrainienne devait se tenir en 2024, la Constitution prévoit un report du scrutin en cas de loi martiale dans le pays. Il envisage toujours un moment où il quitterait ses fonctions « mais pas avant la fin de la guerre », explique-t-il.
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