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Grève SNCF : une « prime de 50 euros par heure travaillée » pendant le week-end… Des cadres volontaires remplacent des grévistes, les syndicats s’insurgent contre ces « briseurs de grève »

Ray Richard by Ray Richard
mai 9, 2025
in Bourse Entreprise
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Grève SNCF : une « prime de 50 euros par heure travaillée » pendant le week-end… Des cadres volontaires remplacent des grévistes, les syndicats s’insurgent contre ces « briseurs de grève »

La compagnie ferroviaire a annoncé la circulation de 90 % de ses trains ce week-end du 8-Mai.

Malgré une forte mobilisation, 9 TGV sur 10 circuleront pendant le week-end du 8-Mai, avait assuré la SNCF. Pour cela, la compagnie ferroviaire va « massivement » mobiliser des cadres volontaires du groupe.

Face aux syndicats, la SNCF riposte. Pour assurer la circulation de 90 % de ses trains ce week-end du 8-Mai, la compagnie de service publique a décidé de faire appel à des cadres volontaires du groupe formés aux missions de chef de bord ou d’appels en interne VAO : issus des métiers de la finance, de la communication et des ressources humaines, ils sont plusieurs centaines à monter au créneau.

« Des mercenaires archi-surpayés »

Pour motiver les troupes, la SNCF promet à ces « briseurs de règles » une prime de 50 euros par heure travaillée pendant le week-end. Une mesure qui provoque l’ire des cheminots qui accuse la SNCF de « vouloir essayer d’étouffer la colère » des grévistes qui se mobilisent depuis le début de la semaine, dénonce Julien Troccaz, secrétaire fédéral de Sud Rail. « Ces mercenaires briseurs de grèves sont des gens archi-formés et archi-surpayés », s’insurge Fabien Villedieu de Sud Rail.

« Inacceptable » pour la CGT

Pour Sophie Binet, numéro 1 de la CGT, « Ce n’est pas acceptable d’instrumentaliser de cette manière l’encadrement », qui n’est pas là « pour remplacer les grévistes ». « Les cadres sont mis sous pression, ils sont obligés de remplacer les grévistes ou de se déclarer en grève eux-mêmes. Cela revient à leur demander de faire des missions qui ne sont pas les leurs. On leur fait un chantage qui n’est pas acceptable », martèle-t-elle encore.

Par ailleurs, ces cadres auraient été « formés à la va-vite, en quelques jours », tonnent encore les syndicats. « Ce qui constituerait un risque pour les passagers encadrés par ces volontaires ». Par ailleurs, seul un chef de bord issu de cette réserve sera mobilisé par rame, et non deux comme habituellement.

Une formation « très dure », selon des cadres

Cette « formation au rabais », les cadres de l’opération la « nient ». « C’est tellement dur que certains abandonnent en cours de route. Le manuel de Sécurité est à apprendre par cœur, il est assez épais. Il y a des tests psychologiques, de santé et de postures », confie l’un d’eux à BFMTV. De plus, cette mobilisation des cadres pour permettre aux trains de circuler lors des conflits sociaux est « une pratique très ancienne de la SNCF », abonde une source auprès de la chaîne de télévision, qui admet toutefois que pour les chefs de bords, « l’organisation est plus récente. Elle a été mise en place il y a une quinzaine d’années ».

« Se frotter au cœur de métier de la SNCF »

Face aux accusations de la SNCF, la direction assure que cette mobilisation permet à ses cadres « de se frotter au cœur de métier de la SNCF » et récuse les accusations d’entrave à la grève. « Il y a un cadre clair, il est parfaitement normal que des cadres puissent avoir une autre expérience, notamment auprès du client », assure le directeur de TGV/Intercités Alain Krakovitch.

Enfin, une loi sur l’organisation du service public permet en effet de réaffecter du personnel en cas de mouvement social. Mais, contrairement aux TER ou aux Intercités, le TGV n’est pas un service public et cette pratique n’a encore jamais été portée devant les tribunaux par les syndicats. Affaire à suivre ?

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