Le CFDT garantit que l’usine est « viable » et dénoncer l’ouverture de « Centres clients » et de« Un méga-utilisateur en Inde ».
Les syndicats élèvent leur voix. Une grève a été arrêtée mardi la production de sites de Lubrizol à Rouen et Le Havre pour dénoncer une restructuration menaçant près de 150 postes dans la Seine-Maritime, nous avons appris d’une source syndicale, confirmant les informations de la Normandie. « Le CGT part sur une semaine de grève »a annoncé Thomas Ferment (CGT) à un journaliste de l’AFP devant le site de Rouen, qui avait été touché en 2019 par un gigantesque feu de produits chimiques. « 100% du personnel de production est en grève à Rouen et Oudalle (près de Le Havre, note de l’éditeur), nous sommes arrêtés avec sécurité »a ajouté le syndicaliste. « Le CGT demande le retrait du PSE (plan de sauvegarde de l’emploi, note de l’éditeur) parce que l’usine est bien, nous gagnons toujours de l’argent »Il a dit. « Nous voulons que nous croyions que nous manquons de compétitivité, mais nous avons produit 350 000 tonnes en 2024 »Mr. Ferment quantifié. « À titre de comparaison, notre concurrent Chevron a produit 270 000. »
Lubrizol France produit sur ses trois sites français, à Rouen, Oudalle et Mourenx (Pyrénée-atlantiques), additifs pour l’essence, le diesel ainsi que les lubrifiants moteurs et industriels. La direction a annoncé début février un PSE avec une abolition de 169 postes, en particulier 145 des 367 emplois à Rouen / Petit-Quévilly. Contacté par l’AFP, la direction a déclaré « surprendre » Et « Regret » Cette grève, se rappelant avoir accepté de changer la procédure PSE de trois semaines. « Le PES était un choc, personne ne s’y attendait »a témoigné Reginald Sauvalle, délégué CFDT, assurant que l’usine est « viable » et dénoncer l’ouverture de « Centres clients » et de« Un méga-utilisateur en Inde ». « Nous négocions avec une direction que nous ne savons pas, que nous ne voyons jamais »Le syndicaliste a prévalu.
Selon lui, le PSE a été mis en place « par rapport à » à l’incendie du 26 septembre 2019 dans l’usine Rouen. La combustion de 10 000 tonnes de produits chimiques avait ensuite provoqué une toux, une gêne respiratoire, une irritation, des maux de gorge, des nausées et des vomissements dans une partie de la population locale. Un rapport de surveillance de l’Université de Rouen a souligné la présence de huit substances classifiées « Les cancérogènes et les mutagènes, les perturbateurs endocriniens et / ou reprotoxiques, ou toxiques pour les organismes aquatiques » dans l’environnement. Une présence « Fiable uniquement au feu ».