AFP / LIONEL BONAVENTURE / REUTERS / Stéphane Mahé
Aucune enquête d’opinion n’avait jusqu’ici donné un écart aussi minime entre le macroniste et l’essayiste, selon le « roulant » Ifop-Fiducial pour Le Figaro, LCI et Sud Radio, diffusé ce lundi.
Sommes-nous à un tournant ? Ce moment crucial de toute campagne électorale où le choix des Français s’affine de plus en plus, au point que les courbes d’intention de vote s’agitent. Si la réponse ne sera connue que le 9 juin, jour des élections européennes, il se passe sans doute quelque chose dans l’opinion publique : deux mouvements asymétriques depuis le début de la semaine dernière. Tout d’abord, la poursuite de l’accélération de la tête de liste du PS et Place Publique Raphaël Glucksmann, mesurée ce lundi à 14,5% (+0,5) des voix. Jamais auparavant l’essayiste n’avait été évalué aussi haut, tous instituts de sondage confondus.