Apparence immédiate, sanction des parents, dérogations de l’excuse minoritaire: l’examen du texte de Gabriel Attal visant à durcir la justice des mineurs, commence mercredi dans l’hémicycle de l’Assemblée nationale. Un texte qui est loin d’être unanime dans les macronistes élus.
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Durcissement des sanctions envers les mineurs délinquants, c’est l’objectif du projet de loi examiné à partir du mercredi 12 février de la soirée à l’Assemblée nationale. Un texte emblématique pour Gabriel Attal qui y joue sa crédibilité. Vous vous souvenez peut-être de la formule de ce jeune Premier ministre il y a un an: « Vous déjeuner, vous êtes réparé, vous vous unz à vous nettoyer, vous défiez l’autorité que nous vous apprenons à la respecter ». Gabriel Attal voulait lancer un « Smill of Authority », Eh bien, voici la demande législative. Son texte sur la justice des mineurs qui veut durcir les sanctions envers les jeunes récidives et leurs parents.
« Le groupe est enfin parlé: nous ne pouvons exister que par des propositions fortes et utiles », L’un des membres se félicite tandis qu’un autre prétend depuis des semaines « Des textes debout qui se lancent dans les élus « . Elle critique son président de groupe pour s’être perdu en opposition avec les mesures de Michel Barnier cet automne, « Gabriel Attal a été complètement perdu depuis la dissolution », Elle croit qu’elle.
Le choix de ce texte n’est pas unanime dans les macronistes élus. « »Nous ne parlons pas du tout de la protection des mineurs, c’est très incomplet « , Regrette un député de l’aile gauche, pas encore certains de voter pour cette loi répressive, malgré les efforts de pédagogie de Gabriel Attal, le Rapporteur du texte et le ministre de la Justice, qui a passé une heure à rencontrer le groupe mardi!
Est-ce une forme d’inconfort ou un désintérêt qui explique l’absence de nombreux macronistes et de leurs alliés lors de l’examen du texte en comité? La gauche qui est devenue la majorité de la pièce n’avait pas gêné de démêler les mesures. Ainsi, pour un examen dans l’hémicycle, tous les membres du groupe EPR sont invités à être présents. La gauche a l’intention de se battre, elle n’a pas de mots suffisamment graves pour qualifier ce texte et le choix de Gabriel Attal. « Il veut vraiment relayer la fasciisation du débat public? », remet en question un élu socialiste, qui considère que ces mesures sont dignes de la « Droit dur ». « Sa seule façon pour lui d’exister est de saisir des sujets souverains comme il l’avait fait pour Abaya », Quand il était ministre de l’Éducation, analyse une autre gauche élue de la gauche, mais « Nous ne pouvons pas faire une abaya tous les deux jours »!
Les critiques les plus sévères viennent finalement des élus qui ont quitté la Renaissance.« Quand on me dit d’attal, j’ai l’image d’un ballon dégonflé. Il y a la tête de Mickey dessus mais il y a plus d’air dedans », S’attaquer à l’un de ceux qui ont claqué la porte. Un autre continue: « Nous sommes confrontés à un vol en avant, à une capitulation intellectuelle de la Renaissance devant la droite et au RN (…), c’est comme si les sondages d’opinion étaient la seule doctrine », Selon lui.
Les sondages sont en effet favorables à cette loi, c’est un argument des dirigeants du groupe EPR. Ils spécifient également que les macronistes élus ont largement acclamé ce texte lors d’un vote interne. « »Il ne s’agit pas de faire avancer Gabriel, mais de faire avancer nos fichiers, ces mesures font partie de notre colonne vertébrale « dit Prisca Thevenot, porte-parole du groupe.
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