Après avoir ouvert le score, l’OM a finalement été tenu en échec par le Stade de Reims dimanche soir (2-2), en clôture de la 2e journée de Ligue 1. Un match frustrant pour les Olympiens, qui ont eu les occasions de faire le break en première période. C’est le constat dressé par Pierre-Emile Hojbjerg, qui retient néanmoins quelques points positifs de ce match.
LE Stade de Reims est venu gâcher la fête. Pour la première fois Roberto De Zerbi au Stade Vélodrome, leOM a été tenu en échec par les Rémois dimanche soir (2-2), pour le compte de la deuxième journée de Ligue 1. Menés au début de la deuxième période, les Olympiens ont réussi à limiter la casse grâce à Mason Greenwoodmais ce résultat reste frustrant.
Mercato – OM : C’est confirmé pour ce transfert en Ligue 1 https://t.co/9UKKSpSNZS pic.twitter.com/EqNXUBsJQ6
— le10sport (@le10sport) 26 août 2024
« Un seul point, c’est compliqué d’être heureux »
» C’est vrai qu’après le match, un seul point, c’est compliqué d’être content. Il y a eu des choses qui ont été contrôlées. C’est difficile d’accepter de n’avoir qu’un seul point. C’est la vérité aussi « , a confié Pierre-Émile Hojbjerg au micro de DAZN. Grâce à Elye Wahi, leOM ont eu l’occasion de prendre une grosse avance et de se mettre hors de danger, ce que le milieu de terrain de 29 ans, arrivé cet été en provenance de Tottenham.
« Avec les opportunités que nous avons eues, c’est difficile à accepter. »
» Je ne suis pas là pour jouer un rôle qui n’est pas naturel. Je suis là pour apporter en tant que joueur et en tant qu’homme, pour aider les joueurs et les personnages. Chaque joueur doit donner ce qu’il peut. Un seul point, c’est difficile d’être content. Il y a une partie du jeu que nous maîtrisons très bien mais avec les occasions que nous avons eues, c’est difficile d’accepter de ne prendre qu’un seul point. Le coach essaie de mettre les joueurs aux postes où ils sont les meilleurs. Chaque jour, on apprend. Nous avons la chance en tant que joueurs de vivre cette ambiance. Je sais qu’il y a une pression énorme. C’est important d’assumer cette pression. « , a ajouté Pierre-Émile Hojbjerg.