Des témoins accusent le Premier ministre, en tant qu’ancien ministre de l’Éducation nationale et élu local, d’avoir été fermé sur les accusations de violence, en particulier sexuelle.
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/2025/02/22/080-hl-bandre-2674094-67b9d7f0d5828431059030.jpg)
Emmanuel Macron a pris la parole le samedi 22 février sur la touche de The Agricultural Show, sur l’affaire Violence dans Notre-Dame de Betharram en soutenant son Premier ministre, François Bayrou, sous pression pendant deux semaines. « Le Premier ministre a répondu à toutes les questions sur ce sujet avec une grande clarté. Le Premier ministre, je l’ai nommé et il a toute ma confiance »dit le chef de l’État.
Des témoins accusent François Bayrou, en tant qu’élu local et ministre de l’Éducation de 1993 à 1997, d’avoir été informé et de ne pas avoir réagi aux accusations de violence, en particulier sexuelle, dans le présent établissement du Béarn fréquenti épouse, qu’il a nié plusieurs fois.
Vendredi, le Premier ministre a dénoncé « La mécanique du scandale que nous recherchons » et des attaques destinées à sa famille, Au lendemain de l’émission du témoignage d’un ancien professeur de mathématiques de Notre-Dame de Betharram. Avec Mediatart et l’unité d’enquête de Radio France, elle réaffirme après avoir entendu un adulte violer un enfant alors qu’elle était avec l’épouse de François Bayrou, qui a enseigné le catéchisme à l’école, sans que ce dernier intervienne. À Mediatart, elle dit également qu’elle a directement alerté François Bayrou, alors ministre de l’Éducation nationale.
Vendredi, un ancien général de Bétharram a été inculpé de viol et mis en détention à un procès en ce cas de violence sur des mineurs s’étendant sur des décennies. Deux autres hommes, qui avaient été placés en garde à vue, ont été libérés en raison de la prescription. Ces trois personnes sont les seules encore en vie parmi les 11 implications pour le viol aggravé et les agressions sexuelles aggravées par les 112 victimes déclarées dans l’établissement.
« Ces témoignages, des années, des dizaines d’années plus tard, sont extrêmement écrasants »Soulies le chef de l’État samedi. « La lutte de la lutte contre la violence qui a été faite à nos enfants est la mienne dès le début et je le mènerai à la fin. »