La première phase du C1 s’est terminée mercredi par la qualification des quatre clubs Ligue 1. Succès des Français, favoris pour la nomination (ou non) … découvrez ce qui a plu à notre rédaction au cours de ces cinq premiers mois de compétition européenne.
Tops
Brest en Petit Poucet, calendriers très généreux pour Lille et Paris Saint-Germain, le football français pourrait craindre le pire à l’aube de cette formule unique de Ligue des champions dans 36 équipes et huit matchs pour chaque formation. Résultat des courses, les résidents de la Ligue 1 ont percé l’écran. Mention spéciale au LOSC de Bruno Genesio, formidable 7e avec des services réussis et un conseil de chasse royal (Real Madrid, Atlético, Feyenoord …), et au Brestois Stadium, qui n’était pas froid aux yeux pour offrir un barrage de gala soit face à Benfica Lisbonne, soit face au PSG. Le club de la capitale a sauvé sa peau en donnant enfin des sensations fortes (et des buts) à ses supporters en écrasant Manchester City (4-2) puis Stuttgart (4-1). Enfin, alors que Monaco, qui est certainement irrégulier, a également réussi le piège du premier tour, battant le FC Barcelone depuis le début (2-1) à Louis-II.
Preuve des chiffres de la bonne santé des clubs de tricolor cette saison en Europe: la France a remporté 17 de ses 32 matchs contestés dans la phase du groupe C1, son meilleur ratio (53%) depuis l’exercice 2009/2010 (59%), et Placez tous ses représentants dans la première moitié de la table (Lille 7e, Paris 15e, Monaco 17e, 18e Brest). Succès sacré. Il reste à confirmer cela lors des correspondances d’élimination directe, où la participation, le niveau et la pression seront décuplées.
Roller Compressor en Premier League, les Reds de Liverpool ont travaillé pendant longtemps en Ligue des champions jusqu’à perdre sa dernière réunion mercredi sur la pelouse du PSV Eindhoven (3-2), avec une équipe « bis » alignée sur le coup de coup de Envoi (Salah, Diaz, Konaté, Van Dijk laissé au repos en particulier). L’entraîneur de Scousers, Arne Slot, pouvait se permettre de gérer une main-d’œuvre depuis que les travaux avaient été (très bons) effectués auparavant avec sept victoires en sept matchs, y compris les coups d’État de Force à Anfield contre le Real Madrid (2-0) et Bayer Leverkusen ( 4-0). La page Jürgen Klopp a définitivement tiré, ce nouveau Liverpool guidé par Mohamed Salah, leader de la phase de la ligue à l’arrivée (21 points), est effrayant toute l’Europe.
Sauf peut-être au FC Barcelone, le seul adversaire à garder le rythme de l’anglais jusqu’à la fin. Tenue en échec par Atalanta Bergame (2-2), le Barça a raté le trône de Little mais a fait une 2e place avec un bon record (six victoires, un match nul, une défaite à Monaco). Les Blaugranas et leur trio infernal composé de Robert Lewandowski (9 buts), Raphinha (8 buts, 5 passes décisives) et Lamine Yamal (2 buts, 2 passes décisives), surtout martyrisé les défenses (28 buts marqués en huit matchs). Désormais, Liverpool et le Barça, déclarés favoris, ne peuvent plus se rencontrer avant une éventuelle finale à Munich (31 mai) mais pourraient, à partir de la 8e finale, traverser la route des clubs français, PSG, en tant que Monaco ou le Stade Brestois.
Lire aussi
Ligue des champions: PSG contre Brest ou Monaco avant le Barça ou Liverpool … les meilleures et pires impressions pour les clubs français
Pendant la phase de la ligue, le français – retraité ou actif – a principalement répondu. Commencer avec Antoine Griezmann, auteur de 6 buts (dont deux doubles contre Salzbourg et Bratislava) et Grand Artisan, avec son coéquipier Julian Alvarez (6 réalisations), de la 5e place remportée par Atlético Madrid. Solids at the Post, Jules Koundé (FC Barcelone) et William Saliba (Arsenal) ont également participé à la bonne campagne de leur équipe respective. S’il était satisfait d’un seul petit but, au buzzer sur la pelouse de Bern, Marcus Thuram a aidé à l’Inter Milan (3e) en faisant de la défense de Monaco (3-0) mercredi. Citation également Michael Olise, décisive avec le Bayern Munich (4 buts), et Maghnes Akliouche, capable de quelques étincelles dans le maillot mongasque, en particulier contre le Barça (2-1) à l’ouverture.
De plus, il est impossible de ne pas mentionner les Parisiens Bradley Barcola et Ousmane Dembélé qui leur auront symbolisé le cours du PSG. Frustrants, décevants alors tous tirent toute la flamme. Sous la pression, les deux assaillants français ont d’abord réveillé tous les Paris et le Parc des Princes pour renverser Manchester City (4-2) et disperser Stuttgart (4-1) sur sa pelouse. Deux buts pour Barcola en une semaine, quatre pour Dembélé, le problème d’efficacité parisien semble soudainement loin. Enfin, dans cette évaluation française, nous mentionnerons la copie mixte de Kylian Mbappé (voir ci-dessous) tandis que Serhou Guirassy (Borussia Dortmund), International Guinen mais originaire d’Arles et ancien Hope Bleu, a terminé le meilleur buteur de la première phase avec 9 buts marqué, à égalité avec Robert Lewandowski.
Vainqueur de la Champ Champion Clubs Cup en 1982, Aston Villa n’avait pas joué le moindre match C1 depuis la saison suivante 1982-1983 (arrêté en quarts de finale). Une éternité pour ce club historique de football anglais. De retour sur la plus grande scène européenne après que leur 4e place ait glané en Premier League au printemps dernier, les Villans formés par Unai Emery ont brillé pour déchirer le top 8 après leur victoire contre le Celtic Glasgow (4-2). Leipzig (2-3) et le Bayern Munich (1-0) sont notamment tombés dans le piège set par Lucas Digne, Boubacar Kamara et leurs coéquipiers qui ont certainement bénéficié d’un calendrier favorable (Bologne, Young Boys de Bern, Celtic). Battu seulement deux fois (par Bruges et Monaco), Aston Villa est désormais nommée en huitièmes de finale contre l’une des quatre équipes suivantes: Borussia Dortmund, Atalanta Bergame, Sporting ou … Bruges, un son jachère de l’automne.
64 buts en 18 matchs simultanés, le suspense dans toutes les directions, la grande soirée «multiplex» mercredi a conclu avec style une phase inédite de la ligue divertissante et surprenante dans plus d’un titre. À l’exception des deux matchs supplémentaires (par équipe) qui remettent en question le calendrier infernal du football européen, la majorité des fans de football simples, même des spectateurs neutres, ont pris les pieds les mardis et mercredi. Offrant une classification en constante évolution et des matchs « simples » qui reconstruisent les cartes, la première phase du tournoi plutôt convaincue. Surtout depuis qu’elle a fini par sourire aux clubs et surprises français (Brest, Lille, Aston Villa). Avec quoi la phase finale en magasin avec, pour commencer, des barrages passionnants? Réponse dans deux semaines en première étape (11 au 12 février). Nous sommes (déjà), j’ai hâte d’être là.
Lire aussi
Ligue des champions: « A Pleasure From the Sky », « Un passionnant Park d’attractions » … la presse européenne (presque) unanime dans le nouveau format
Flops
Il n’y a aucun doute à ce jeudi 30 janvier de douter du Real Madrid, capable plus que tout autre club pour créer le curseur au printemps pour remporter une 16e Ligue des champions. Le fait demeure que le Merengue, comme le Bayern Munich et Manchester City, a raté le top 8 qui leur semblait destiné. La faute du début d’un exercice cataclysmique ponctué de trois sans appel (à Lille et Liverpool, contre l’AC Milan) au cours des cinq premiers jours. Comme un mbappé kylien perdu sur le sol, Casa Blanca s’inquiète jusqu’à ce qu’elle retrouve le mur. En obligation de réagir, les joueurs de Carlo Ancelotti ont finalement fait le travail contre Atalanta (2-3), Salzbourg (5-1) et Brest (0-3) -Mbappé marquant à Bergame puis à Bernabéu contre les Autrichiens – pour revenir en arrière à la 11e rangée. De grandes choses commenceront désormais pour le maître de la compétition qui sera opposée aux barrages soit au Celtic, soit à … Manchester City, pour un (possible) remake d’un choc s’est produit dans les trois dernières éditions (demi-finales en 2022 et 2023, quart-quart de finale en 2024).
Après trois matchs, il était impossible de croire à l’élimination au premier tour de Manchester City qui avait ensuite sept points sur neuf possibles. Puis patatras. Les citoyens, en crise de confiance de novembre, ont coulé trois pelouses européennes (Sporting, Juventus, PSG), accueillant une « élevée » de Feyenoord en un quart d’heure au stade Etihad (de 3-0 à 3-3) . La peur dans l’estomac, Pep Guardiola et ses hommes ont absolument dû prévaloir contre le Bruges Club mercredi pour rester en vie dans le top 24. Mission accomplie, non sans trembler à nouveau (0-1 à la mi-temps, score final de 3-1). Le point positif, les meubles (et l’honneur) sont sauvés du côté de Manchester City. Black Point, le champion en régnant en Angleterre, se frottera du jeu – au Real Madrid ou au Bayern Munich. Une chose est donc certaine, un géant européen tombera des 16e finales de cette toute nouvelle édition de la Ligue des champions.
Trois points, sept défaites pour une victoire, huit buts marqués, 32e place finale … Le RB Leipzig a terminé sa campagne européenne désastreuse mercredi par une défaite (symbolisme) sur le terrain de Sturm Graz (1-0), également éliminée à la Le coup d’État envoyé. À l’arrivée, le 5e actuel en Bundesliga est le plus gros poisson à prendre la porte de la première phase. Il est vrai que le tirage n’était pas Clement pour le Red Bull Galaxy Club, battu par Atlético, Liverpool, Inter Milan, la Juventus ou Aston Villa. Mais cela ne devrait pas servir d’excuse. 8e finalistes l’année dernière (publié par le Real Madrid), les Saxons n’ont jamais pris la mesure de la compétition, même en perdant contre Glasgow (3-1) dans un match qui pourrait les relancer. Pour un club avec ce budget (environ 400 millions d’euros) et ses ambitions, le dossier se révèle catastrophique.
Cette nouvelle formule, essoufflée jusqu’à la fin comme nous l’avons dit, a élargi le plateau à 36 équipes (contre 32 avant). Si ce choix de l’UEFA ouvre la porte à des fédérations plus européennes, il est clair que « le flop 8 » de la classification finale s’est distingué par sa faiblesse extrême. Avec leur zéro pointu (huit défaites), les jeunes garçons de Bern (24 buts ont concédé) et le Slovan Bratislava (27) a vécu une épreuve. Et les cours de Girona, Sturm Graz, Sparta Prague et The Belgrade Red Star sont à peine plus brillants. Alors, qui est la faute? La formation citée aurait évidemment pu faire mieux, en prenant l’exemple du stade Brest qui savait comment maximiser un calendrier « abordable ». Mais il est évident que l’écart reste immense entre les champions nationaux des ligues de la « deuxième zone » à l’indice de l’UEFA (Autriche, Croatie, Suisse, Slovaquie …) et l’omnipotence des cinq (ou quatre + un est selon à ) Major-championnats d’Europe.
Reprise du CMP vendredi 31 janvier à 8h30 La question de l'aide médicale de l'État…
Un match contrôlé du début à la fin. Hier soir, le Paris Saint-Germain a corrigé…
Entre deux expectorations remplies de sang, il parvient à articuler son nom et son âge.…
La détonation a été entendue plusieurs kilomètres autour. Mercredi soir, un homme de 47 ans…
Par Clément Mazella Publié sur 30 janvier 2025 à 12h09 Mercredi, Fabien Garthié a levé…
Pendant que faisant partie de Ille -t-Vilaine est maintenue en vigilance rougeDe nombreuses municipalités sont…