« Ce soir, je suis un homme heureux », a déclaré Daniel Guguin en clôturant la quinzième édition du festival Les Galettes du Monde, ce dimanche. Une édition qui a bien failli ne jamais voir le jour, les intempéries de samedi matin ayant emporté les esprits, mais surtout les terrains qui devaient accueillir les festivaliers l’après-midi.
« On s’est donné une heure pour voir si on pouvait encore ouvrir deux heures après l’arrêt de la pluie. Tout le monde a mis la main à la pâte, on a séché le champ avec de la paille et c’est parti ! »
Même si cela a provoqué quelques mouvements sur le site de revente de billets, le festival a affiché complet… Les deux jours ont affiché complet, avec 20 000 billets payants vendus.
Plus de fluidité sur le site
« Musicalement, nous sommes également très satisfaits », ajoute le président du festival. La nouvelle organisation et l’agrandissement du site, qui est passé de 15 000 à 20 000 m² avec deux scènes distinctes, ont permis plus de fluidité dans les déplacements des festivaliers. Ils ont également davantage profité des cuisines environnantes et des différentes animations. « Il ne faut pas oublier que la musique est la cerise sur le gâteau, le plus important ce sont les pays et leur culture. »
Autrement dit, un pari gagnant sur toute la ligne pour l’organisation, qui réfléchit déjà à la suite avec une certaine sérénité, grâce à l’accord entre la mairie, Aqta et le festival.