Ce 25 octobre 2024, c’est Eliot Deval qui a animé la très populaire « L’heure des pros »sur CNews. Le joker de Pascal Praud a été appelé en renfort ce jeudi soir pour remplacer au pied levé l’animateur star de la chaîne et d’Europe 1, pour raisons familiales.
Selon nos informations exclusives, Pascal Praud s’est absenté de l’antenne pour rentrer à Nantes, où il vient de perdre son père24 octobre 2024. Lui-même père de famille, même s’il parle souvent de ses enfants à la télévision, l’ancien journaliste sportif a également évoqué son père en public à plusieurs reprises.
Pascal Praud en deuil
En 2019, il avait rendu hommage à son papa sur les réseaux sociaux. Pascal Praud était puis est revenu au mariage de ses parentsqui a fait l’objet d’une annonce dans la presse quotidienne régionale.
Fier d’avoir retrouvé ce trésor, il écrit alors : « 31 janvier 1959 à Nantes. Michelle Dubois épouse Roger Praud, apprenti footballeur au FC Nantes. Le journal Ouest-France a immortalisé ce moment. C’était il y a 60 ans. Michelle et Roger t’embrassent ».
Par la suite, le père de Pascal Praud fut directeur régional d’une entreprise de fournitures de bureau.
Homme de cœur, Pascal Praud avait aussi un mot pour sa mèreMichelle, en 2023, pour une journée spéciale. Partageant une autre relique du passé, il a commenté : «C’est la Saint Pascal ! Et pour fêter ça, ma chère maman m’a envoyé ce tirage pris quelques minutes après ma naissance. Je pense qu’elle a aussi gardé la peluche qui écoutait mes confidences et essuyait mes larmes. ».
Ce qu’il a partagé avec son père
C’est une famille Praud qui est aujourd’hui endeuillé par cette disparitionet qui se retrouve dans la place forte de Loire-Atlantique, pour les obsèques. Avec son papa, Pascal Praud partageait, semble-t-il, l’amour des grands chanteurs.
En février 2024, il racontait dans les colonnes du JDD un souvenir d’adolescence avec Serge Lama. Et il a ensuite convoqué son père, évoquant le tube du chanteur : « Algérie« . Il a ensuite expliqué : « Je n’écoute jamais l’Algérie sans penser à l’église Sainte-Croix de Nantes où chaque jour, pendant les vingt-huit mois que son fils était sous le drapeau, ma grand-mère allumait une bougie. »
Et de citer ce que son père lui avait apporté »dit mille fois » : « J’ai seulement vu mon père pleurer une fois, le jour de mon départ en Algérie« . Avec la rédaction de Public.fr, nous lui présentons toutes nos condoléances.
Toute reproduction interdite sans avis public.