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Eurovision 2024 : « Concours de laideur », « exhibitionnisme »… Ségolène Royal s’en prend aux costumes du concours, le qualifiant de « farce lugubre »

Eurovision 2024 : « Concours de laideur », « exhibitionnisme »… Ségolène Royal s’en prend aux costumes du concours, le qualifiant de « farce lugubre »

l’essentiel
Le concours de l’Eurovision a sacré samedi soir l’artiste non binaire Nemo, représentant de la Suisse, au terme d’une soirée colorée et éclectique, une « exubérance » qui n’a pas plu à l’ancienne ministre Ségolène Royal qui ressortait d’un tweet ce lundi matin.

La concurrence semble avoir choqué Ségolène Royal si l’on en croit son long message posté à l’aube sur X (anciennement Twitter). Au-delà des prestations musicales, ce sont surtout les costumes qui ont offensé l’ancien ministre. « Concours de laideur, de vulgarité, de grossièreté, d’exhibitionnisme (sanctionné par la loi mais diffusé à des millions d’enfants et d’adolescents !!) », c’est en ces termes que Ségolène Royal a jugé l’édition 2024 de l’Eurovision qui s’est tenue samedi soir à Malmö, en Suède. .

#Eurovision2024 Ce n’était pas un concours de talents musicaux, mais un concours de laideur, de vulgarité, de grossièreté, d’exhibitionnisme (sanctionné par la loi mais diffusé à des millions d’enfants et d’adolescents !!). Il faut espérer que pas un euro d’argent public ou européen…

– Ségolène Royal (@RoyalSegolene) 12 mai 2024

L’homme politique estime qu’il serait choquant « si aucun euro d’argent public ou européen n’était consacré à cette sombre farce » et appelle à un débat public sur les choix vestimentaires des artistes. « Les chanteurs eux-mêmes avaient-ils la liberté de refuser les vêtements pitoyables et abusifs que les organisateurs leur faisaient porter ? elle demande.

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Et de poursuivre : « Une enquête sérieuse sur les modalités ainsi qu’une évaluation financière détaillée de cette exposition minable mais évidemment coûteuse sont nécessaires. » De lourdes accusations portées, sans laisser la possibilité aux internautes d’entrer dans le débat, les commentaires ayant été volontairement clos par Ségolène Royal.

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