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est-ce le moment d’investir ?


Les passoires thermiques sont-elles la meilleure offre du moment ? A priori ce n’est pas le meilleur achat ! Mais sur le marché immobilier, ces biens mal notés sont de plus en plus prisés, même si leur nombre tend à diminuer.

Tout d’abord, qu’est-ce qu’une crépine thermique ou énergétique ? Il s’agit d’un logement mal isolé avec simple vitrage. Chaud en été et froid en hiver, il coûte deux à trois fois plus cher en électricité et en gaz. Et pourtant, les Français semblent affluer vers ces résidences bon marché car ils ne peuvent pas se permettre un logement décent. La part des ventes de ces logements anciens, classés F ou G, ne cesse d’augmenter. En effet, ils représentent, aux deuxièmes trimestres 2021, 2022 et 2023, respectivement 11%, 16% et 18%.

A l’inverse, le nombre global de ce type d’hébergement est en diminution. Sur les 30 millions de résidences principales au 1er janvier 2023, 4,8 millions de logements, soit 15,7%, bénéficient d’un label F ou G. En 2022, on comptait 5,1 millions de logements, soit 17,1 %. du parc. C’est ce que souligne le dernier rapport de l’Observatoire national de la rénovation énergétique. Dans le détail, la France compte, au total, 30 millions de résidences principales, dont 1,8 million de logements (soit 6 % du parc) sont économes en énergie, labellisés A ou B du DPE. En revanche, environ 4,8 millions de logements, soit 15,7 % du parc, sont passoires énergétiques, c’est-à-dire disposent du label F ou G du DPE.

Ce sont des statistiques arrêtées à 1euh janvier 2023 et qui mettent en avant une baisse de 380 000 crépines thermiques par rapport à l’année précédente. En effet, au 1er janvier 2022, la France comptait 5,1 millions de passoires thermiques, soit 17,1% du parc. «  La part des logements F passe ainsi de 10,2 à 9,4% (- 207 000 logements) et celle des logements G de 6,9 ​​à 6,3% (- 171 000 logements). Parmi les G, la part des logements très énergivores (consommation d’énergie finale conventionnelle supérieure à 450 kWh/m²) passe de 1,8% à 1,7% (- 48 000 logements) », précise l’étude.

Pour cette année 2023, « au total, sur les 37 millions de logements que compte l’ensemble du parc (résidences principales, résidences secondaires, logements vacants), le nombre de passoires énergétiques au 1er janvier 2023 est estimé à 6,6 millions (17,8% du parc) contre 7,1 millions (19,5%) en 2022, soit une baisse de 7%”, note l’observatoire. La part des logements à forte consommation (labels E, F, G) varie selon les régions. Elle est la plus élevée dans le centre et le nord de la France et en Île-de-France, avec 21,7% de tamis énergétiques et 47,5% de logements classés de E à G parmi les résidences principales, en Île-de-France, notera l’étude de l’observatoire.



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