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Erreur de l’hôpital : une fille forcée de recommencer après trois mois de souffrance


Une fillette de trois ans, qui a dû souffrir pendant trois mois en consommant du gluten malgré son intolérance pour déterminer si elle aurait une maladie plus grave, va devoir à nouveau subir le calvaire en raison d’une erreur hospitalière, selon sa mère.

« Je n’ai même pas les mots pour expliquer à quel point j’étais détruite physiquement et émotionnellement lorsque le médecin m’a appelée. C’était dévastateur, a déclaré Natasha Contardi, la mère de la fillette, dans une interview accordée à Global News. Trois mois complets de souffrance pour mon fille qui n’étaient pas censés arriver.

Aux prises avec une intolérance au gluten depuis sa naissance, la petite Teagan, 3 ans, aurait dû subir récemment des tests médicaux pour vérifier si elle est atteinte de la maladie coeliaque.

Car chez un patient aux prises avec cette maladie, le gluten abîmerait physiquement la muqueuse intestinale, au lieu de simplement provoquer une gêne, selon ce que la mère aurait expliqué aux médias anglophones.

« Avec la maladie coeliaque, aussi peu qu’une miette de pain dans la bouche pourrait rendre la personne malade pendant des jours », aurait-elle déclaré.

Sauf que, pour effectuer le test à l’Hôpital de Montréal pour enfants, la petite fille aurait eu besoin de remettre du gluten dans son système, l’obligeant à l’ajouter à son menu pendant 12 longues semaines.

« Elle se plaignait pendant les repas, disant qu’elle n’avait plus faim ou qu’elle avait mal au ventre […] Elle a développé une éruption cutanée pâle qui démange; elle se gratte jusqu’au sang. Elle pleurait en allant aux toilettes », aurait décrit sa mère.

Mais tout cela devrait repartir de zéro, puisqu’après deux prises de sang, en février et mars, la mère serait restée sans nouvelles de l’hôpital malgré les appels répétés pour les résultats. Au bout d’un moment, elle aurait finalement été informée que les prélèvements sanguins n’auraient pas été testés à temps par l’hôpital et ne seraient donc plus viables.

Cependant, ce serait une situation rare, selon ce que la porte-parole de l’Hôpital de Montréal pour enfants, Christine Bouthillier, aurait déclaré dans un courriel à Global News, notant que les laboratoires de l’hôpital effectueraient 8 millions de tests par an.

« Les cas urgents sont généralement vus dans les 24 heures. La perte d’échantillon est très rare. Cependant, le traitement des échantillons est retardé pour certains tests qui ne sont pas cliniquement urgents. La priorité de traitement est déterminée par les médecins », aurait-elle précisé.



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