EXTRAITS EXCLUSIFS – Garder foi en son métier quand on se retrouve face à des enfants d’une culture étrangère, dans une société qui ne croit plus à l’exemplarité ni à la transmission, est un combat quotidien.
Cet article est issu du « Figaro Magazine »
Ses étudiants l’ont surnommée la « Sénégalais »parce que Myriam Meyer est née au Sénégal, où sa mère était institutrice et non, elle ne l’est pas « une fille arabe qui a réussi », Même si elle s’appelle Myriam. Lorsqu’ils ont découvert son prénom, les enfants immigrés du collège du Val-de-Marne où elle enseignait ont volontiers pensé qu’elle était arabe – au moment de son parachutage, elle ne portait pas encore le nom de son mari, Meyer.
Dans l’Éducation nationale, les affectations dépendent d’un système complexe de points. Après seulement trois ans d’expérience professionnelle, enseigner en réseau d’éducation prioritaire (REP) n’était pas le choix de ce trentenaire. Mais avec le recul, ces six années auront été « le plus fertile, le plus riche et le plus fort » de sa carrière, comme elle l’écrit dans la préface de son livre.
Myriam Meyer a le talent de faire partager ses émotions au lecteur Wesh, Madame ?! Rires et larmes d’une enseignante de banlieue
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