À l’échelle du Racing, c’est une déflagration. Déjà affecté par une situation sportive inquiétante (9e, avec seulement trois points de marge sur la 13e place) et une situation tout court rendue confuse par le départ prochain du président Laurent Travers, le vestiaire du Plessis-Robinson a compris qu’une séparation à l’amiable avait été décidée entre Camille Chat et son club depuis douze ans. La négociation est terminée. Contacté par Ici Auxerre, le père du joueur a confirmé qu’elle « satisfait les deux parties », ajoutant que « ce qui se passait au club et dans son environnement, avec les nombreux changements annoncés en interne, ne convenait plus (à son fils). »