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en vidéo, Roselyne Bachelot raconte sa première rencontre avec Emmanuel Macron

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L’ancienne ministre de la Culture était sur le plateau de l’émission « C Médiatique », pour promouvoir son dernier ouvrage, dans lequel elle revient sur sa relation avec les personnalités politiques qu’elle a rencontrées au cours de sa carrière. .

Roselyne Bachelot était, dimanche 13 octobre, l’invitée de l’émission « C Médiatique », diffusée sur France 5. L’occasion pour l’ancienne ministre de la Culture de promouvoir Monstres sacrésson dernier ouvrage publié chez Plon le 3 octobre, et dans lequel elle lève le voile sur les couloirs du pouvoir ainsi que sur les personnalités qu’elle y a rencontrées.

« Merde, le code a changé ! »

Un échange au cours duquel Mélanie Taravant, l’animatrice du talk-show, est revenue sur les multiples expressions fleuries utilisées par l’ex-députée dans son livre. Parmi ces derniers, une exclamation poussée par ce dernier, heureusement de l’intérieur. « C’est lorsque j’ai rencontré Emmanuel Macron pour la première fois, la veille d’être nommée ministre de la Culture », explique Roselyne Bachelot. « J’arrive à l’Élysée, complètement modernisé avec un président sur un canapé, sans cravate, avec une chemise grande ouverte sur sa poitrine velue. Et puis je me dis : « Putain, le code a changé ! », plaisante-t-elle.

Tableaux Soulages et fauteuils en cuir

Début mars 2023, sur RTL, celui qui était également chroniqueur radio et télévision avait déjà raconté cette première interview de l’actuel président de la République dans l’émission « Le Bon Dimanche Show » de Bruno Guillon. A l’époque, elle confiait avoir été marquée par « la chemise ouverte, une chemise sans col, les yeux bleus absolument incroyables et les dents du bonheur » de ce « tout jeune président ».

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Elle a expliqué avoir été également interloquée par la nouvelle décoration des locaux, qui n’a plus rien à voir avec celle du quinquennat de Nicolas Sarkozy. « J’ai quitté le bureau (du Président de la République, NDLR.) avec les ors de la République, les bureaux Louis XV, les meubles anciens, les tapis de la Savonnerie. Là-bas, tout était moderne avec des tableaux de Soulages, des tapisseries noires et dorées et des fauteuils en cuir », explique-t-elle. Encore un autre changement.

Gérard Truchon

An experienced journalist in internal and global political affairs, she tackles political issues from all sides
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