Divertissement

EN PRIVÉ AVEC Elie Semoun, sa maman l’a quitté quand il avait 11 ans : « Je n’ai pas trop de souvenirs… »


Par Gonzague Lombard | Éditeur

Passionné de chant, de Douze coups de midi et de discographie de Jul, il rêve de participer à Fort Boyard malgré sa phobie des serpents et du Père Fouras. Son ambition secrète ? Découvrez ce qui se cache derrière le rideau mystérieux de Bataille et Fontaine pour y chanter en quatuor. La vérité est au bout du couloir…

Elie Semoun a réalisé le film « Ducobu se met au vert ». Dans le long métrage, il incarne également le professeur… et sa terrifiante mère, Ghislaine Latouche.

Elie Semoun dans l’émission Purepeople, « En privé avec… »

Le reste après l’annonce

Mais d’où vient cette obsession délirante pour les bandes dessinées Ducobu, signées Godi et Zidrou ? Elie Semoun incarne le Professeur Latouche depuis les premières adaptations des œuvres au cinéma, et voilà qu’il réalise pour la troisième fois une suite à ces folles aventures. Le mercredi 3 avril 2024, le cinéaste présente un cinquième opus écologique, intitulé Ducobu se met au vert, dans lequel il poursuit ses aventures dans le domaine académique. De quoi, sans doute, rendre fière sa mère, de là-haut.

Elie Semoun, un hommage à sa mère dans « Ducobu se met au vert » ?

La mère d’Elie Semoun était en réalité professeur de français. Et au cours d’une séquence émouvante tout aussi drôle, son personnage, Gustave Latouche, explique que la personne qu’il admire le plus au monde est justement sa mère, Ghislaine Latouche. « Il montre son portrait et comme elle est dégoûtante, elle est si laide, les enfants sont dans une hystérie absolue, ils crient, certains s’évanouissent. Donc ce n’est pas vraiment un hommage à ma mère, parce que ma mère était belle« , précise le cinéaste de 60 ans dans l’émission En privé avec Personnes pures.

Elie Semoun n’a pas « trop ​​de souvenirs » de sa mère

Elie Semoun commence très tôt des études de théâtre. Mais il garde une admiration sans limite pour le métier d’enseignant… notamment parce qu’il a vu, étant petit, à quel point sa mère s’investissait dans son métier. « J’apprécie beaucoup ce métiersouligne l’acteur. Je trouve qu’à l’époque, même si elle est décédée quand j’avais 11 ans et que je n’ai pas trop de souvenirs, je me souviens qu’elle rentrait épuisée et que c’était vraiment un sacerdoce pour elle. emploi. Elle enseignait à des enfants en difficulté, donc c’était compliqué pour elle.« 

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Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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