Pour les Français d’Israël, les positions de Jean-Luc Mélenchon et de ses proches font office d’épouvantail.
Correspondant à Jérusalem
La guerre qui menace au Nord et n’en finit plus à Gaza, les otages, l’inconnu politique, l’isolement international : face à une crise existentielle, la société israélienne peine à sortir de sa bulle. L’actualité électorale française fait exception, sans doute en raison de la place qu’a pris le conflit israélo-palestinien dans le positionnement politique des partis. Les déclarations de Jean-Luc Mélenchon et de ses proches font de LFI un épouvantail, qui pousse la communauté franco-israélienne vers le Rassemblement national.
Dans la 8e circonscription des Français de l’étranger, le second tour des législatives ne sera pas un duel RN-NFP. Le parti de Jordan Bardella n’y a pas envoyé de candidat. Aux élections européennes, il avait enregistré un score autour de 10%. Marion Maréchal, alors candidate de la Reconquête, avait dominé le score, talonnée de près par François-Xavier Bellamy.
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