EN IMAGES – Portraits cannois, le Festival en dix visages – Libération
Dans les yeux de Libé
par Laura Stevens, Mods
publié le 25 mai 2024 à 19h22
Laura Stevens/Modds
Cannes, le 14 mai. Greta Gerwig déboule avec une assurance incroyable sur des escarpins incroyables (« On dirait des sabots, vous ne trouvez pas ? »). Quelque chose d’Alice au Pays des Merveilles dans la robe du cinéaste.
Laura Stevens /Laura Stevens pour Libération
Cannes, 15 mai. A 20 ans, Clara-Maria Laredo tient un surprenant premier rôle dans « Une image de fils » de Thierry de Peretti. Ce n’est qu’au fur et à mesure du tournage qu’elle découvre qu’elle « adore ça » : « En jouant, en se superposant à une autre personne, on prend de la distance avec sa propre réalité. »
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Cannes, le 17 mai. Révélé dans « Breaking Bad », Jesse Plemons incarne trois personnages dans « Kinds of Kindness » de Yórgos Lánthimos. « Ce qui rend le travail avec Yórgos particulièrement amusant, c’est que peu importe le nombre de questions que vous lui posez, il n’y répond pas nécessairement, du moins jamais clairement. »
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Cannes, le 20 mai. Itsaso Arana, actrice et scénariste, a écrit le scénario de « Septembre sans attendre » aux côtés de son compagnon Jonás Trueba : « Faire du cinéma avec quelqu’un qu’on aime, cette expérience à la fois asphyxiante, folle et amusante, qui intensifie la processus complet. »
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Cannes le 20 mai. Abou Sangaré, demandeur d’asile guinéen de 23 ans, joue le rôle principal dans « L’Histoire de Souleymane » de Boris Lojkine. Comme le personnage du film, il est soumis à une obligation de quitter le territoire français, tombée quelques semaines avant le début du festival.
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Cannes, 19 mai. Ben Whishaw incarne l’écrivain Limonov dans le film de Kirill Serebrennikov, « une fiction sur un homme qui était lui-même une sorte de fiction, qui a passé sa vie à s’inventer et à se réinventer ».
Laura Stevens /Laura Stevens pour Libération
Cannes le 21 mai. Erwan Kepoa Fale, rayonne dans « Eat the Night » de Caroline Poggi et Jonathan Vinel, dans le rôle d’un dealer un peu malgré lui, sensuel, honnête et doux : « Pour être un bon acteur, il faut il faut ramener son ego au maximum. Je sais qu’il y a des choses auxquelles je ne pourrai pas encore jouer. Par ego, par frustration parfois, par coup de pinceau parfois aussi… »
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Cannes, 22 mai. Payal Kapadia, réalisateur d’un passionnant premier long métrage de fiction « Tout ce que nous imaginons comme lumière » : « J’ai voulu m’efforcer, dans ce film, de montrer l’espoir. Le monde est tellement désespéré en ce moment, heureusement il y a le cinéma. L’unité fait la force. »
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Cannes, 23 mai. Pour les deux Brésiliens, Ricardo Teodoro et Joao Pedro Mariano, qui illuminent « Baby » de Marcelo Caetano, il s’agit de leur premier film, des rôles hautement sensuels.
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