Jannik Pécheur : « L’ambiance sera ce qu’elle sera. On est en Amérique, contre un Américain, donc c’est évident que le public sera un peu plus de son côté. Mais c’est normal, ce n’est pas contre moi. Donc je l’accepte. Quand je joue en Italie, c’est la même chose. Je sais que beaucoup de gens me regardent depuis l’Italie, donc je vais essayer de me nourrir de leur soutien (…) Taylor a un gros service, mais il est aussi très solide en fond de court. Il peut frapper fort, ou avec beaucoup d’effets. Il sait très bien varier ses coups. Il a beaucoup joué cette année, donc il a le rythme. »
Taylor Fritz : « Honnêtement, je ne pense pas que ce sera un match plus stressant que la demi-finale. Jouer contre Frances (Tiafoé), un autre Américain, pour voir qui d’entre nous irait en finale, et savoir que je menais 6-1 dans les duels, c’était super stressant. Jouer contre le numéro un mondial, c’est différent. C’est le favori, la pression est sur lui. En même temps, j’ai toujours aimé jouer contre lui. Je me sens bien, et j’ai le sentiment que je vais bien jouer et gagner. »