Et il y a des rires à l’avant du peloton. On n’est pas vraiment dans la course cycliste la plus intense du monde aujourd’hui.
Donner ce prix à Kobe Goossens serait une belle arnaque. Mais ce serait d’autant mieux pour l’équipe Intermarché, qui est déjà en tête des prix récoltés depuis le début du Tour.
Personne n’attaque, tout le monde attendra gentiment le sprint de masse.
18 km/h au trois quarts arrière, mais ça peut suffire, mais aucune équipe ne passe vraiment à l’offensive. Tout le monde attend de voir.
Les choses vont plutôt mal à Issoudun.
Et la course devrait vraiment commencer à la sortie de la ville.
Et en même temps, on s’éloigne des frontières.
L’ancien poisson pilote de Cavendish, aujourd’hui directeur sportif, s’attend à un sprint massif et pas d’échelons. Bref, pas grand chose avant 1h30.
Puisqu’il n’y a rien à commenter sur cette étape, on rejoue le sprint intermédiaire, et Philipsen se retrouve une nouvelle fois au coeur de la polémique.
Mais au moins le peloton a un peu accéléré.
Faut-il craindre les bordures à la sortie de Vierzon ? En tout cas, UAE et Soudal-Quickstep sont prêts.
J’aimerais vous dire qu’on ne les a pas vu passer, mais ce n’est pas du tout le cas. Comme on vous le disait il y a quelques jours, c’est vraiment la fin des échappées publicitaires, ça va être un challenge pour les organisateurs, car ça donne des étapes assez compliquées à regarder.
Il est temps de voter.
… Mais non, toujours pas, long cortège qui occupe toute la route. Le vent est faible. Le maillot jaune et son équipe se désintéressent totalement de la course. On vient même de voir un coureur d’Alpecin avec sa chaussure à la main, et il la remet tout en continuant à pédaler. Bravo à lui.
Ce qui est reproché à Philipsen, ce n’est pas tant le fait de changer de voie, mais le temps passé à faire demi-tour (et on sait qu’on va toujours moins droit quand on ne regarde pas la route).
On espère, mais ça ne se passe pas comme ça. C’est parti pour trois longues heures de cortège.
Il est 3ème du sprint, devant Girmay et Gaviria. Démare est également en lice.
Il a une minute d’avance et il va probablement se relever.
et le Belge a vraiment mis l’Erythréen de côté, c’est une maladie chez lui. Gaviria marque aussi quelques points.
On n’a pas vraiment vu qui ne voulait pas rouler, mais clairement l’ambiance entre Van Gils et les deux Groupama-FDJ n’a rien d’exceptionnel.
De cette façon, Intermarché et Lotto n’auront pas à rouler. Seuls Alpecin et peut-être Cofidis resteront. C’est léger.
Les coéquipiers de Philipsen sont les seuls à y avoir intérêt. Ils prennent finalement la tête du peloton mais l’écart est passé à 1’15.
Cela fait clairement partie de la stratégie de l’équipe de Biniam Girmay. Limiter les points du maillot vert ?
Madouas et Geniets lancent le compteur. Nous rappelons que le sprint intermédiaire aura lieu à 130 km de l’arrivée.
Deux coureurs de Lotto, Van Gils et Vanhoucke, marqués par Gossens (Intermarché), trois Belges. Et ça remonte assez vite. Mais l’écart est monté à 17 secondes.
Une attaque qui n’était pas du tout prévisible !
On rappelle qu’il s’agit de 20 points maximum pour le sprint intermédiaire dans quelques kilomètres, et de 50 en cas de victoire d’étape, donc quoi qu’il arrive, Biniam Girmay, qui possède actuellement 96 points d’avance sur Philipsen, sera encore dans le vert demain.
C’est vrai que ce sera une sacrée étape, la traversée du Cantal, avec pas mal de dénivelé, l’ascension du Puy Mariy… Il y aura des échappées et peut-être de la bagarre entre les favoris.
Une moyenne qui fait saliver tous les amateurs, mais qui est loin des standards des coureurs professionnels.
Même la pluie est silencieuse.
« C’est le Tour de France », a expliqué le champion belge. « Il y a beaucoup de médias et beaucoup d’attention portée à chaque détail. Oui, c’est bien, il y a un peu de suspense. Dans notre équipe, nous étions très contents après l’étape de dimanche. Nous avons terminé l’étape avec Jonas qui était l’un des favoris et c’est notre objectif. »
« Je suis toujours frustré et déçu, ça n’a pas changé mais la journée de repos d’hier a été bonne. Je pense que c’était nécessaire, dimanche a été très difficile et ça m’a permis de me ressourcer, de passer un peu de temps avec ma famille. On est dans cette deuxième semaine du Tour de France et je suis prêt à essayer de faire de bons résultats. Oui c’est un sprint, c’est un petit peu technique disons dans le dernier kilomètre, ce qui me donne un petit avantage car ça casse la vitesse et c’est sûr que quand on roule à 70 km/h avec mon gabarit c’est plus compliqué, mais je suis habile sur le vélo et j’aime ces finals un peu tortueux et techniques. Donc j’aime bien. Ensuite il y a une journée à passer avant. Il n’y a pas trop de vent là-bas mais il y a un risque de déviation. Dans tous les cas ce sera exposé et il faudra faire attention, on va perdre beaucoup d’énergie et mentalement ça va être difficile c’est sûr. »
C’était en 2013, mais contrairement à ce qu’on pourrait penser, ce n’était pas un sprint massif. Il y avait eu un swoop, mené par l’équipe QuickStep, dans laquelle Cavendish roulait, qui avait réussi à chauffer les Hollandais de Belkin dans ce mouvement. Ils étaient arrivés avec un petit groupe régulé, évidemment, par Cavendish.
Pogacar est acclamé à chaque fois qu’il traverse un village. Je n’ai jamais vu autant de coureurs saluer, c’est vraiment calme, c’est comme si on était encore au départ fictif.
Le peloton a accéléré un peu après 15 km à 30 km/h. Encore 50 km avant le sprint intermédiaire, qui s’annonce comme le premier temps fort de la course.
Oh, on va voir des châteaux, c’est le Franck Ferrand Show.
Il fait chaud et lourd sur le parcours du Tour, mais ici les coureurs traversent une forêt à un rythme que l’on qualifiera modestement de mesuré.
Et ça a commencé très calmement. Pas d’échappée au kilomètre zéro. Il y avait des discussions en petits groupes dans le peloton. Tout le monde penchait pour une étape très calme, sans frontière.
A 3 km du départ réel de l’étape, aucun accident au départ fictif, c’est déjà quelque chose.
Et c’est reparti, après 24 heures de repos très profitables à tous, après la grande explication sur les chemins blancs autour de Troyes (qui s’est d’ailleurs poursuivie via la presse dans les heures qui ont suivi), la course redémarre. Cette fois, il ne sera sans doute pas question des attributs de Vingegaard, qui devrait passer une journée tranquille, compte tenu du parcours entièrement plat, ce qui devrait permettre aux équipes des sprinteurs de garder le contrôle d’éventuelles tentatives d’échappées.
Sauf que le vent pourrait s’en mêler et pousser certaines équipes à tenter de surprendre les leaders (par exemple Roglic, déjà affaibli par l’abandon de son lieutenant russe Vlasov hier).
Départ de l’étape à 13h05 Arrivée prévue entre 17h24 et 17h46 Retrouvez les horaires de passage de la caravane ici. L’étape est diffusée à la télévision sur France Télévisions et sur Eurosport 1. Elle est bien sûr à suivre à la radio sur RMC et même avant le départ sur la radio digitale RMC 100% Route. Une étape à suivre bien sûr en direct commenté sur le site et l’application RMC Sport.
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