« Le macronisme est long, très long, surtout à la fin » : l’éditorial de Vincent Trémolet de Villers
Cinquante jours de consultations, d’oscillations, de tergiversations pour aboutir à des hypothèses déjà évoquées dans la semaine du 7 juillet (Cazeneuve, Bertrand, Migaud, Larcher…) ou pour faire émerger un parfait inconnu, Thierry Beaudet, dont le talent propre est de présider une institution depuis longtemps reconnue comme n’étant d’aucune utilité publique.
Marcel Aymé aurait fait une histoire courte de ce chef d’une gigantesque organisation du vide où les rapports s’écrivent au kilomètre en sachant que personne ne les lira jamais. Inutile, Thierry Beaudet ne devrait heureusement pas franchir le mur du Cese pour rejoindre Matignon. Maigre consolation, puisque, deux mois après le second tour des législatives, nous subissons interminablement le spectacle effroyable d’un pouvoir rétréci, déboussolé, qui se rêve encore en Machiavel.
A lire aussi« Pour Emmanuel Macron, gouverner signifie-t-il surseoir ? »
Quand le divorce d'un couple de milliardaires russes se transforme en fusillade meurtrière au siège de leur entrepriseLa Voix du…
Et un nouveau scandale pour Vincent Labrune et la LFP ! Ce jeudi, L'Equipe a publié un article expliquant que…
De nouveaux rebondissements viennent bouleverser la vie amoureuse de Thibault. Stressé, Enzo retourne pour la première fois à l'école !…
Vous conduisez votre voiture (ou votre vélo), et soudain, de nulle part, un autre véhicule vous dépasse, se rapproche trop…
Une nouvelle approche de l'informatique a vu le jour ces dernières années. Et si nous utilisions du matériel biologique, comme…
Certains thés du commerce contiennent des substances nocives pour la santé. Heureusement, le magazine 60 Million Consumers révèle les meilleurs…