Les températures caniculaires, comme celles enregistrées ce lundi en France, illustrent la multiplication des vagues de chaleur en Europe, conséquence directe du réchauffement climatique.
Les émissions de gaz à effet de serre augmentent la puissance et la durée des vagues de chaleur, en particulier en Europe, « la région qui se réchauffe le plus rapidement au monde », selon l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
La Grèce a connu son mois de juillet le plus chaud depuis 1960, selon les premières données météorologiques. L’Italie, qui fait face à l’une des pires sécheresses depuis 50 ans, a connu une série de températures élevées. Les 1 000 îles croates aux plages idylliques ont flirté avec les 40 degrés Celsius pendant la journée. Tout comme une grande partie de l’Espagne et du sud de la France.
Résultat : l’Europe a connu en 2024 son deuxième mois de juillet le plus chaud jamais enregistré.