Le président a déclaré à ses troupes qu’il ne resterait pas les bras croisés s’il devait nommer un premier ministre issu du Rassemblement national. Mais sa marge de manœuvre sera limitée.
Sommet du G7 en Italie, le 13 juin. Quatre jours après avoir prononcé la dissolution de l’Assemblée nationale, Emmanuel Macron est interrogé par la presse : ses homologues étrangers considèrent-ils encore que ce qu’il dit engage la France, alors qu’il sera peut-être déchargé d’un certain nombre de ses pouvoirs le 7 juillet, si le second tour des élections législatives ne lui confère pas la majorité ? « Ils connaissent notre Constitution et ils savent quelles sont les compétences et le rôle d’un président en France, sur les questions internationales et de défense, donc il n’y a aucun doute « , rétorque-t-il. Et de le marteler lors des sommets internationaux « la parole de la France est engagée par le président de la République « .
Le chef de l’Etat délimiterait-il déjà ses zones réservées en cas de cohabitation avec un premier ministre d’un autre camp ? Pas du tout, les gens autour d’eux crient : « Il ne se voit vraiment pas dans cette perspective. » Officiellement, Emmanuel…
© Iconsport Les débuts de Diallo, Diaw attendra L'entraîneur des Girondins Bruno Irlès peut compter sur la qualification d'Amadou Diallo,…
Revivez la victoire de La Rochelle face au Racing 92 à Créteil (17-16). Un succès acquis grâce à un penalty…
Défilé - Elie saab - Prêt à porter Printemps-Été 2025Le FigaroInvité : la mode en crise ? Sophie Fontanel fait…
La lecture de ce contenu peut entraîner le dépôt de cookies par l'opérateur tiers qui l'héberge. Compte tenu des choix…
Franck Haise revient à BollaertFranck Haise, arrivé sur le banc niçois cet été, va donc retrouver son ancien club où…
L'un des arbitres de la rencontre VRDR-Agen a été visé par un individu ce vendredi 27 septembre, en marge de…