Emmanuel Macron a déclaré le jeudi 24 avril « Jamais envisagé » Pour dissoudre à nouveau l’Assemblée nationale, contestant ainsi les informations rapportées au cours de la semaine par l’agence de presse Bloomberg.
«J’ai vu qu’un de vos collègues avait écrit quoi que ce soit. Ce n’est pas sérieux de Bloomberg d’avoir écrit ceci (…). Je n’ai jamais dit une telle chose, ni envisagé une telle chose »a dit au président la presse lors de son voyage d’État à Madagascar. «J’ai probablement fait des erreurs, j’ai fait des choses qui n’étaient parfois pas comprises. C’est sans aucun doute le cas avec la dissolution»Il reconnaissait toujours devant la presse.
L’Elysée avait déjà officiellement nié mercredi qu’Emmanuel Macron prévoyait de dissoudre à nouveau l’Assemblée nationale, cet automne, après l’échec de la dissolution de juin 2024. « La présidence de la République nie, car elle l’a déjà fait en amont de la publication de l’article »a rapporté le palais présidentiel sur le réseau social X.
L’agence de presse américaine a déclaré que le chef de l’État avait « Consulté les gens au cours des dernières semaines dans son premier cercle sur un tel scénario ».
« Ce ne serait pas une bonne décision »
Interrogé sur la question d’une éventuelle confiscation de Nicolas Sarkozy de la Légion d’honneur, Emmanuel Macron, qui est un grand maître de l’ordre national de la légion d’honneur, a déclaré jeudi qu’il « Ne prendra pas(il) Aucune décision « En ce qui concerne le retrait de cette décoration à son prédécesseur, définitivement condamné par les tribunaux criminels français. « Je pense qu’il est très important que les anciens présidents soient respectés »a fait valoir le chef de l’État, considérant « Que ce ne serait pas une bonne décision » Que laisser tomber M. Sarkozy de la Légion d’honneur.
La question a été ouverte à la suite de la condamnation finale en décembre de Nicolas Sarkozy à trois ans d’emprisonnement, y compris une année ferme, pour la corruption d’un magistrat élevé dans le cas d’écoute SO. Depuis février, l’ancien chef de l’État est équipé d’un bracelet électronique, un premier pour un ancien président.
En mars, le général François Lecointre, chancelier de la Légion d’honneur, a déclaré que le retrait de la Légion d’honneur de Nicolas Sarkozy était « Différend ». L’avocat de l’ancien président, Patrice Spinosi, avait ensuite rappelé que son client avait été élevé au Grand-Croix lors de son accession au chef de l’État, en 2007. La légion d’honneur de Nicolas Sarkozy est « Attaché à sa fonction » de l’ancien chef de l’État et non de sa personne, a fait valoir l’avocat.