Alors que les résultats continuaient de tomber dimanche soir, Stéphane Séjourné s’est réjoui du score de la majorité présidentielle : « Contrairement à ce que certains prédisaient, le bloc central, républicain et modéré est toujours là, debout ». Annoncée balayée, la coalition Ensemble obtiendrait entre 152 et 158 sièges à l’issue du second tour, notamment grâce aux nombreux désistements de candidats de gauche pour « faire barrage » au Rassemblement national.
Un barrage contre l’extrême droite dont Stéphane Séjourné s’est réjoui : « Des dizaines de millions de Français ont, « en conscience, souverainement, massivement, dit non à l’extrême droite. Notre peuple a une fois de plus été à la hauteur de l’Histoire. »
Le secrétaire général de Renaissance, Stéphane Séjourné, fraîchement élu député des Hauts-de-Seine, a rejeté dimanche l’idée d’un gouvernement dirigé par Jean-Luc Mélenchon. Alors que le chef officieux des Insoumis appelait plus tôt dans la soirée à ce qu’Emmanuel Macron remette les clés du gouvernement au Nouveau Front populaire, le chef du parti présidentiel a fermement rejeté cette idée, posant, selon lui, « les bases » d’un travail avec « l’ensemble des partis républicains ».
Évoquant tour à tour « la défense des principes républicains et notamment la laïcité, ainsi que la lutte contre le racisme et l’antisémitisme » ; « la construction européenne », « le maintien du soutien à l’Ukraine », « la lutte contre le changement climatique » mais aussi « la politique d’attractivité » ou « l’autorité de l’État » comme « conditions » à la constitution de « majorités de projet », Stéphane Séjourné a rejeté l’éventualité d’un gouvernement dirigé par Jean-Luc Mélenchon ou le Nouveau Front populaire : « Il est donc évident, au vu de ces préalables, que Jean-Luc Mélenchon et un certain nombre de ses alliés ne peuvent pas gouverner la France. »
Stéphane Séjourné a reconnu ouvertement la situation inédite que connaîtra l’Assemblée nationale à partir de lundi : « Aucune force politique n’a de majorité absolue », et la nécessité pour les familles politiques de s’entendre pour travailler ensemble. « Nous formaliserons les préalables à toutes les discussions en vue d’une majorité de projet. » Des majorités de projet qui excluent d’office « Jean-Luc Mélenchon et ses alliés », mais qui sont ouvertes à « toutes les bonnes volontés ». Là où commencent les bonnes volontés et où finissent les alliés de Jean-Luc Mélenchon, comprenez qui peut…
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