Il est écrit, à la fin de l’expédition, Cyrano touche. Et frappez l’œil du taureau. Le public, saisi, se lève en tant que célibataire saluant l’un des plus beaux textes du répertoire et une performance au plus fort du rôle. C’est ce que nous espérons chaque fois que le rideau monte sur le héros Gascon. Après la réplique finale, ce mardi 28 janvier, premier soir au Antoine Theatre d’Edmond Rostand avec Édouard Baer à Bergerac, la salle ne se levait pas. Un signe. Le public a applaudi, chaleureusement ici – des amis, convaincus, unis mais assis -, poliment là. Dans l’ensemble, l’assistance est mesurée, en retenue.
Un public tiède, comme le « Cyrano » auquel nous venons de participer à la mise en scène d’Anne Kessler, membre honoraire des Français qui a repris le projet après le retrait d’Olivier Solivérès. Édouard Baer remonte à la scène quelques mois après avoir annulé son émission, prévu ici, après la publication dans la presse de témoignages anonymes de femmes contre lui, sans suites juridiques. Il revient, mettant le nez le plus célèbre des planches, un Everest dont beaucoup rêvent mais devant lesquels beaucoup flanc. Il faut audacie et courage pour nous mesurer avec ce nez. Baer l’a, qui s’en tient, dans une version serrée, bien sûr, mais tout de même.
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