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Duralex veut mettre en avant le « made in France » pour se relancer


L’emblématique verrier français, désormais transformé en société coopérative, présente sa stratégie, après un nouveau redressement judiciaire.

L’alliance peut paraître étrange : le site du Slip français vend un pack de six verres iconiques «  Poupée gigogne » de Duralex, ainsi qu’une série limitée de sous-vêtements Le Slip français siglés Duralex pour l’occasion. Objectif : «  mettant en avant le « made in France » »« C’est avec enthousiasme que nous justifions Guillaume Gibault, président de l’enseigne textile, lors d’une conférence de presse commune des deux entreprises, lundi, dans l’usine Duralex de La Chapelle-Saint-Mesmin (Loiret). En plus de sa marge habituelle, le verrier français touchera 5 euros par paquet vendu. De quoi montrer le soutien en espèces sonnantes et trébuchantes dont Duralex a bien besoin. »

Car Duralex revient de loin. Une fois de plus. En avril dernier, l’entreprise a été placée en redressement judiciaire. Pour la sixième fois en moins de trente ans. «  Quand l’usine tournait à plein régime, nous n’aurions pas pu vous accueillir ici, dans la « recette », le lieu où se déroulent toutes les productions…

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Gérard Truchon

An experienced journalist in internal and global political affairs, she tackles political issues from all sides
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