L’ancien skieur a été proposé jeudi pour prendre les devants dans l’organisation des Jeux olympiques de 2030, quelques jours avant la création officielle du comité d’organisation des jeux dans les Alpes françaises.
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Il a été annoncé comme le grand favori. Les organisateurs des Jeux de 2030 ont proposé, le jeudi 13 février, le nom d’Edgar Grospiron pour devenir président du comité d’organisation des Jeux olympiques et paralympiques (Cojop) dans les Alpes françaises, 33 ans pour le jour après son titre olympique. Le Savoyard avait plusieurs actifs à affirmer. À près de 56 ans, le médaillé d’or de l’événement de ski de ski aux Jeux d’Albertville en 1992, et Triple Champion du monde, a déjà une certaine aura médiatique.
La preuve de cela est: le Comité olympique et sportif national français (CNOSF) est venu le chercher pour les encourager à être candidat, a justifié Edgar Grospiron dans le communiqué de presse formalisant sa candidature: « Je n’ai rien demandé, je n’ai rien fait, même si je suis touché et honoré que nous m’appelons », avait-il dit. « Pendant huit jours (début février)Les meilleurs profils m’encouragent et me faites-moi savoir qu’ils seront disponibles pour aider si je prends le leadership du projet « , Il avait encore dit.
Depuis le début de sa carrière, Edgar Grospiron a connu motiver et fédérer autour de lui. Tout d’abord quand il a chassé les skis et qu’il a fait le spectacle sur les pistes. Au cours des Jeux olympiques de 1988 à Calgary (Canada), sa discipline a été démontrée afin de prouver au monde du sport qu’elle a sa place aux Jeux.
« Il est troisième. Il n’est pas le meilleur ce jour-là, mais il prend tout et fait un spectacle incroyable à l’arrivée », raconte au journaliste sportif, spécialiste des sports d’hiver, Gilles Chappaz dans une vidéo de la présentation du CIO Edgar Grospiron. En même temps 20 ans, il joue avec ses bâtons et enflamme le public, comme un chef d’orchestre donnant la mesure au public.
« Je pense qu’à Calgary (aux Jeux de 1988) ce jour-là, Grospiron est né à Bumps and Bumps est né aux Jeux Olympiques. »
Gilles Chappaz, journaliste sportif spécialisé dans les sports d’hiverau Comité international olympique
Quatre ans plus tard, il a remporté l’or devant sa famille aux Jeux d’Alberville et est devenu le premier champion olympique de l’événement de ski des patrons d’histoire. « Nous avons l’impression qu’il prend tout à la légère, mais tout est calculé à l’avance », Spécifie Nano Pourtier, son ancien entraîneur dans ce même documentaire, qui le décrit toujours aujourd’hui comme un athlète « Jamais satisfait du ski qu’il a produit » et qui « n’a pas compté son temps pour retourner au travail, toujours avec plaisir ».
« Sa première force est le jeu, le désir de s’amuser, de plaire et de partager avec les autres sa façon de ski, et c’est une vraie force », Inrore son ancien entraîneur. Ce désir de transmission, il l’utilisera encore plus après sa carrière sportive. Tout d’abord En soutenant les jeunes athlètes français. « Deux ans de matchs de Sotchi (2014)Nous avions besoin d’un financement et Edgar nous a soutenus dans cette aventure. Cela m’a permis de participer à mes premiers matchs à seulement 15 ans et quatre ans plus tard pour devenir champion olympique « , témoigne de l’IOC Perrine Laffont, un spécialiste de skieur dans le test de bosse. En 2017, il a même fondé l’association sur la bonne voie pour aider financièrement les athlètes aux portes de l’équipe française, toujours sans parrain, pour poursuivre leur rêve de podiums mondiaux.
Au-delà des terrains de sport, Edgar Grospiron s’est également fait connaître par ses conférences qu’il organise en particulier pour les entreprises et leurs dirigeants par manque de motivation, où il souligne les parallèles entre le monde du sport et du travail. « Ces mondes se ressemblent mais ne sont que très rarement assemblés. Cependant, chacun d’eux est une aventure humaine qui tend vers la performance. Pour réussir dans ces domaines, aucun entrepreneur ou aucun athlète professionnel n’a jamais prétendu réussir seul: c’est toujours une aventure collective « , explique sur son site cet orateur qui veut être « Motivant et inspirant ».
Il a également dû fédérer autour de lui lorsqu’il a pris la direction de la candidature d’Annecy 2018. Un poste qui fait écho à sa position dans les Alpes françaises 2030. Mais à l’époque, l’ancien skieur, alors directeur général, avait choisi de quitter ses fonctions en 2010, après des crises internes et un manque de budget selon lui. « Je ne peux pas gagner la candidature avec ce budget et le temps que je suis parti (Sept mois avant les élections), il s’est justifié à l’époque de l’AFP. Je prends mes responsabilités mais je reste disponible pour gagner la candidature. » La France avait récolté très peu de votes et la Corée du Sud, avec Pyeongchang, avait été préférée.
Pour le projet Alps français 2030, il n’a pas « »Pas d’inclinations pour tout changer. Il vous suffit de vous concentrer pour livrer la meilleure version de ce qui a été promis au CIO « , Il a avancé avant sa nomination. Il a déjà établi ses premières missions, comme En particulier la mise en œuvre administrative du Cojo et la confirmation du plan du site. Il devra toujours passer la scène de la haute autorité Pour la transparence de la vie publique, qui doit assurer l’absence de conflits d’intérêts. Une validation finale avant le lancement une fois pour toute l’aventure des Jeux 2030.
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