Le Galaxy A55 conserve le même module triple caméra que son prédécesseur, avec un capteur principal de 50 mégapixels, un ultra grand-angle de 12 mégapixels et un capteur macro de 5 mégapixels. En plein jour, il délivre des clichés aux couleurs très saturées et au piqué satisfaisant, même si le bruit numérique est parfois visible. En basse lumière, malgré une meilleure gestion des détails qu’auparavant, le lissage logiciel reste trop prononcé. L’ultra grand-angle montre des faiblesses, comme une surexposition notable et des résultats difficilement exploitables en basse lumière.
De son côté, le Edge 50 Fusion propose un bloc photo plus simple mais efficace, avec un capteur principal de 50 Mpx et un ultra grand-angle de 13 Mpx. De jour, les clichés sont colorés et détaillés, surpassant le Galaxy A55 malgré quelques petits défauts. Dans l’obscurité, il gère mieux la plage dynamique et réduit le bruit numérique, offrant des images plus naturelles. Son ultra grand-angle, bien que légèrement lissé, conserve plus de détails que celui de Samsung, notamment dans de bonnes conditions d’éclairage, tandis que le rendu de nuit reste acceptable pour un usage en ligne. C’est ce qui lui permet de reprendre l’avantage.
