Au début des années 2000, Berlin était au bord de la faillite. Elle était endettée, ses infrastructures étaient défaillantes et son économie était tout sauf dynamique. Berlin était « pauvre mais sexy », proclamait son maire social-démocrate, Klaus Wowereit. Si la ville avait autrefois attiré la spéculation après la réunification, les espoirs des investisseurs ont été déçus.
Depuis 1994, les prix de l’immobilier n’ont cessé de baisser, défiant les attentes de ceux qui avaient parié sur le changement de statut d’une métropole redevenue capitale. A l’époque, on imaginait que cette ville, huit fois plus grande que Paris, accueillerait à terme 5 millions d’habitants.
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