Donald Trump répond à Kamala Harris sur les questions de santé
REBECCA NOBLE / Getty Images via AFP
Donald Trump, ici en août 2024, s’en est pris aux capacités cognitives de Kamala Harris qui lui a demandé de publier son bilan de santé.
ÉTATS-UNIS – Donald Trump répond. Alors que Kamala Harris l’appelait à publier son bilan de santé après avoir partagé le sien, l’ancien président républicain a répondu ce lundi 14 octobre en s’en prenant aux capacités cognitives de son rival à l’élection présidentielle.
Dans un message écrit le « Il est très important que Kamala Harris réussisse un test d’endurance cognitive et d’agilité. Ses actions ont amené beaucoup de gens à croire qu’il pourrait y avoir quelque chose de très grave chez elle. ».
Deux jours plus tôt, la vice-présidente s’en était prise à son adversaire, lui reprochant de manquer de transparence sur son état de santé. « Il est clair pour moi que lui et son équipe ne veulent pas que le peuple américain voie vraiment ce qu’il fait et sache s’il est réellement apte ou non à occuper le poste de président des États-Unis ». pensa-t-elle.
Des insultes à gogo
Un diagnostic qui tranche avec le rapport médical détaillé rendu public samedi par la Maison Blanche, concluant que Kamala Harris, 59 ans, a « l’endurance physique et mentale nécessaire pour remplir les fonctions de présidence » des États-Unis et est situé « en excellente santé ». Elle espérait ainsi alimenter un débat sur les facultés de son rival républicain de 78 ans.
Cette stratégie d’attaque n’a pas plu à ce dernier qui n’a donc pas manqué de l’insulter pour se défendre. « Elle est lente et léthargique lorsqu’il s’agit de répondre aux questions les plus simples. Nous venons de vivre presque quatre ans de cela, nous ne devrions pas avoir à recommencer ! »a-t-il insisté. Sans parler de son propre bilan de santé.
C’est loin d’être la première fois que Donald Trump s’en prend violemment à Kamala Harris, qu’il a qualifiée à plusieurs reprises de « stupide comme une pierre », « fou », « faible », Ou « paresseux ». Il est toutefois monté d’un cran fin septembre, jugeant que c’était « handicapé mental » ce qui a choqué même son propre parti.
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