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DJ Snake n’a pas aimé voir son tube « Turn Down for What » utilisé

DJ Snake n’a pas aimé voir son tube « Turn Down for What » utilisé
DJ Snake, ici en mars 2024, à l'Accor Arena de Paris.
FRANCK FIFE / AFP via Getty Images DJ Snake, ici en mars 2024, à l’Accor Arena de Paris.

FRANCK FIFE / AFP via Getty Images

DJ Snake, ici en mars 2024, à l’Accor Arena de Paris.

MUSIQUE – DJ Snake est bouleversé. Ce mercredi 21 août, l’artiste franco-algérien s’est exprimé sur le réseau social X après avoir découvert que son tube Refuser pour quoi a été utilisé lors de la convention démocrate, qui se tient actuellement à Chicago, pour inaugurer l’actuelle vice-présidente américaine Kamala Harris comme candidate démocrate à la présidentielle après le retrait de Joe Biden.

 » Je n’ai pas autorisé et n’autorise pas que ma musique soit jouée lors d’un événement politique. « , a écrit DJ Snake sur le réseau social en commentaire d’une vidéo montrant Lil Jon – qui a collaboré avec le Français sur ce titre sorti en 2013 – lancer la chanson en question en allant dans la foule.

Considéré comme l’une des figures électro les plus populaires au monde depuis plusieurs années, DJ Snake n’a pas donné plus de détails. Ce dernier se montre plutôt discret la plupart du temps sur ses engagements personnels ou ses convictions politiques, même s’il a rappelé l’importance du vote lors de la dernière campagne législative.

Il a également dénoncé récemment, lors du dernier Festival des Ardentes, la situation actuelle à Gaza et déclaré : que nous vivons un génocide sous nos yeux « .  » Palestine libre, libre  » a-t-il ensuite scandé. Ce qui n’est pas sans faire écho à la tribune qu’il a signée Libérer aux côtés d’une pléiade d’autres stars, comme Angèle et Léa Seydoux, appelant Macron à reconnaître un État palestinien en juin.

Un sujet sur lequel Kamala Harris est attendue, alors que le soutien quasi-inconditionnel de Washington à la guerre menée par Israël à Gaza divise le Parti démocrate et la population, comme en témoignent les milliers d’Américains réunis à Chicago depuis lundi en marge de la convention pour manifester leur colère sur ce sujet contre le duo qui dirige leur pays.

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