Après avoir fait grand bruit dans les années 1980, la disparition à Mâcon de Françoise Bruyère et Marie-Agnès Cordonnier, deux auto-stoppeuses belges de 22 ans, a connu un regain d’intérêt dans les années 1990, lorsque la police judiciaire a retrouvé leur trace à Aix-les-Bains, au point d’inculper un suspect qui détenait sans doute la clé de l’énigme. Pour les deux Liégeoises, tout a commencé par une rencontre maudite avec un chauffeur de camion entre Mâcon et Marcilly-la-Gueurce, en août 1984.
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Le mystère autour du meurtre de Virginie Bluzet, retrouvée morte à Verdun-sur-le-Doubs en mars 1997, continue de planer. L’affaire, transférée en septembre à la cellule des cold cases de Nanterre, semble empêtrée dans les mensonges apparents entourant la disparition de la jeune femme de 21 ans originaire de Beaune. La famille et l’ancien enquêteur en charge du dossier continuent de suspecter un homme, tandis que d’autres pistes, comme celles de Pascal Jardin ou de Michel Fourniret, ont depuis été ouvertes.
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Symbole d’une enquête mal menée dès le départ, entachée d’un manque d’intérêt manifeste des autorités envers une famille démunie et un environnement difficile à comprendre, le meurtre de Vanessa Thiellon, retrouvée nue dans la Saône à Mâcon le 5 juin 1999, regorge pourtant d’éléments non vérifiés. Si le petit ami de l’adolescente de 17 ans à l’époque des faits est mis en examen pour homicide involontaire depuis 24 ans, l’éventuelle implication de membres de l’entourage ou l’éventualité d’un crime sexuel restent à étudier. L’affaire, requalifiée en homicide volontaire en juin, est désormais entre les mains de la cellule des cold cases de Nanterre.
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Dorothée Nnomo-Rey, 40 ans, a été poignardée à mort de 32 coups de couteau le 12 mars 2011 à Rully, alors qu’elle se prostituait dans sa camionnette. Treize ans plus tard, l’ancien vigneron Daniel Joblot, l’un des deux anciens suspects, attend toujours un non-lieu pour être lavé de tout soupçon. En toile de fond de cette apparente erreur judiciaire, se dresse un ancien hôtel appartenant à cet homme désormais brisé. A l’origine de son malheur, un aspect mystérieux de ce crime toujours non résolu, tandis que des questions et contradictions demeurent en suspens sur d’autres points intrigants. Notamment sur les réseaux de prostitution, le proxénète de Dorothée et le mari de la défunte à l’époque…
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Denise Chardigny, 91 ans, a été tuée le 12 avril 2019 chez elle, dans son appartement du centre de Rully, en plein jour. Cinq ans plus tard, le crime n’est toujours pas élucidé. Et peu de certitudes émergent. Le mobile du crime odieux, sans qu’il semble totalement convaincant, est l’hypothèse numéro un. Mais entre l’agencement et la modestie des lieux, l’arrivée très récente de cette vieille dame dans une ville où elle n’avait jamais mis les pieds, sa personnalité et son isolement, des questions se posent autant sur son profil que sur celui de son meurtrier. A-t-il saisi une opportunité ou était-il au courant ?
► Cet épisode sera disponible à partir de ce dimanche 8 septembre à 7h
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