Son mari ne s’attendait probablement pas à ça !
Le mercredi 17 juillet 2024, il a appris son divorce à venir via les réseaux sociaux. En effet, sa femme, Cheikha Mahrafille du Premier ministre des Émirats arabes unis et dirigeant de Dubaï, Mohammed bin Rashid Al Maktoum, l’a informé de leur divorce sur son compte Instagram.
Sa déclaration était pour le moins très virulente.Cher mari, comme tu es occupé avec d’autres compagnons, je déclare par la présente notre divorce. Je divorce de toi, je divorce de toi et je divorce de toi. Prends soin de toi. Ton ex-femme« , a-t-elle écrit au cheikh Mana bint Mohammed bin Rashid bin Mana Al Maktoum, également membre de la famille régnante de Dubaï.
Cheikha Mahra a utilisé une méthode généralement utilisée par les hommes
Si la princesse de Dubaï a utilisé à trois reprises la phrase « je te divorce », c’est pour utiliser une pratique musulmane connue sous le nom de « triple talaq (divorce) », qui assure que le divorce est immédiat. Généralement, une telle procédure est utilisée par les hommes bien qu’elle soit très controversée. Elle est même interdite dans plusieurs pays du Moyen-Orient.
Cheikh Mana bint Mohammed bin Rashid bin Mana Al Maktoum et Sheikha Mahra avaient mariés il y a quelques mois seulement lors d’une cérémonie impressionnante qui s’est tenue au Dubai World Trade CenterEn mai 2024, ils ont
a donné naissance à leur premier enfantune petite fille. C’est la princesse qui a annoncé cette belle nouvelle en partageant une photo en noir et blanc de ses mains tenant celles de son bébé.
Des rumeurs d’une crise dans leur relation circulent depuis plusieurs semaines
Depuis plusieurs semaines, les rumeurs sur une crise au sein du couple allaient bon train. Début juin, Sheikha Mahra avait semé le doute sur une éventuelle rupture en partageant une photo avec sa fille avec simplement ces mots : «Rien que nous deux« . De plus, elle avait choisi de supprimer toutes les photos où elle apparaissait avec son mari.
De son côté, Cheikh Mana semble également avoir supprimé les photos de sa femme de son propre compte, et ils se seraient désabonnés l’un de l’autre.