« Francè, c’est bon, pianta, lascia corre ». Jacques Mariani, n’hésite pas à interroger François Marchioni qui témoigne de son passé, de son « vol », pendant près de deux heures, ce mardi 14 mai devant la cour d’assises des Bouches-du-Rhône. Cet homme de 60 ans comparait au procès du double assassinat de Poretta, commis le 5 décembre 2017, pour avoir, selon l’accusation, apporté une aide logistique à certains de ses coaccusés.
« Ma vie a un passé, elle est comme elle est, je regrette les années, les conséquences de ces dernières »jure à la cour François Marchioni.
Il ajoute encore un détail, emprunté à Jacques Dutronc : « J’étais un gentleman braqueur, je faisais apporter des fleurs aux victimes ».
Aujourd’hui, il nous assure : « Je ne sais pas pourquoi je suis ici. »
Puis il parle encore une fois des personnes dans la boîte : « Les gens qui sont ici, ce sont mes amis, ils sont mon cœur, ce sont de bonnes personnes. Je les ai tous côtoyés, ce qu’ils disent est la vérité, et moi aussi. « C’est impossible que ce soit eux ». Le président coupe : « C’est bon, on comprend ».
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