Le président fédéral, qui a eu la douloureuse responsabilité d’annoncer la nouvelle à Djalil Narjissi, juge « normale » la « colère » du père de Medhi et trouverait « compréhensible » qu’il y ait des conséquences juridiques à cet événement. Car, « oui, la baignade n’était pas recommandée », confirme Florian Grill.
Plage de Diaz
Mercredi 7 août, Medhi Narjissi et ses coéquipiers, engagés dans un tournoi international, participaient avec leur staff à « une séance de récupération dans un bain froid » à Diaz Beach, au large du cap de Bonne-Espérance, lorsque l’Agenais de 17 ans aurait été emporté par une vague puis de forts courants vers le large, dans une zone réservée au surf. Un ami a tenté, en vain, de lui venir en aide. Depuis, des recherches sont en cours pour le retrouver. Les recherches pourraient durer, si nécessaire, plus de quinze jours (la durée légale), selon le président de la FFR.