Ils ont été accusés d’avoir répandu des rumeurs transphobes en affirmant que la Première Dame était née homme.
Deux femmes ont été reconnues coupables de complicité de diffamation publique, jeudi 12 septembre, pour avoir propagé des rumeurs transphobes sur Brigitte Macron. Elles ont été condamnées à 500 euros d’amende avec sursis. Elles devront également verser 8 000 euros de dommages et intérêts à Brigitte Trogneux – le nom de jeune fille de la Première dame – et 5 000 euros à son frère Jean-Michel Trogneux.
Depuis 2017 et l’élection d’Emmanuel Macron, des théories du complot affirment régulièrement sur les réseaux sociaux que Brigitte Macronnée Trogneux, est en réalité une femme transgenre dont le nom de naissance était Jean-Michel.
En avril dernier, Emmanuel Macron avait dénoncé des « fausses informations et des scénarios fabriqués » concernant des rumeurs sur les réseaux sociaux contre son épouse, Brigitte Macron.
« Le pire, ce sont les fausses informations et les scénarios fabriqués, avec des gens qui finissent par les croire et qui vous dérangent, y compris dans votre vie privée », a ajouté le président de la République.
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