Alors que le Stade de France fête ses 25 ans, Didier Deschamps a évoqué les bons et les mauvais souvenirs qu’il garde dans l’enceinte dionysiaque.
Le Stade de France fête son quart de siècle. Le grand stade construit pour la Coupe du monde 98 à Saint-Denis a en effet été inauguré le 28 janvier 1998 lors d’un match amical France-Espagne, remporté 1-0 par les Bleus grâce à un but de Zinedine Zidane au cœur de la première période. .
Didier Deschamps faisait évidemment partie de cette première et est sans doute le mieux placé pour parler de l’enceinte dionysiaque. » Le Stade de France est intimement lié à l’histoire de l’équipe de France. C’est au Stade de France que nous avons eu l’immense plaisir de devenir champions du monde pour la première fois, en 1998, et c’est encore au Stade de France, vingt ans plus tard, que nous avons fêté notre deuxième étoile gagnée en Russie”il s’est ainsi confié dans les colonnes du Parisien.
Son pire souvenir
Le sélectionneur français se souvient aussi avec plaisir du match de barrage face à l’Ukraine en novembre 2013. Tous ceux qui ont participé à ce match ont été impressionnés par l’ambiance qui régnait dans les tribunes ce soir-là », a-t-il ajouté, notant que « L’ambiance n’a rien à voir avec ce qu’elle était il y a vingt-cinq ans. C’est un vrai plus pour l’équipe de France d’y jouer. »
Mais le Stade de France n’est pas seulement synonyme de bons souvenirs pour les Bleus. «C’est aussi au Stade de France qu’on a perdu la finale de l’Euro 2016., se souvient-il. Pourtant, le pire a évidemment eu lieu le 13 novembre 2015, le soir des attentats. «C’est là aussi que nous avons vécu l’horreur des attentats terroristes de novembre 2015 »souffla-t-il, forcément marqué par ce souvenir.
