Emmanuel Macron était sur le site ITER avec le Premier ministre indien Narenda Modi le mercredi 12 février. Les manifestants attendaient le duo sur le rond-point CAE-Cadarache.
C’est une action symbolique organisée dans la matinée de ce mercredi 12 février. Lors du rond-point du CEA Center à Cadarache, à Saint-Paul-Lez-Durances (Bouches-du-Rhône), ils n’étaient qu’une douzaine et leurs espoirs et leurs espoirs et leurs espoirs et leurs espoirs et leurs espoirs et leurs espoirs et leurs espoirs et leurs espoirs et leurs espoirs d’être entendu était faible.
Néanmoins, les syndicats de l’Union locale des syndicats de CGT de Saint-Paul-Cadarache-Nernel devaient être présents pour montrer au président de la République leur désaccord sur sa politique, tandis qu’Emmanuel Macron traversait le site du projet Iter sur le nucléaire Merger avec le Premier ministre indien Narenda Modi le mercredi 12 février.
« Ce qui nous intéresse, c’est de souligner tous les mauvais traitements qu’il y a dans les entreprises de sous-traitance. Nous, dans le syndicat local, nous récupérons tous les employés maltraités et toutes les victimes du système Macron, donc nous n’allons pas remercier le président en relation avec Tous ces gens « , a déclaré Philippe Venobre, secrétaire général de l’Union locale du CGT.
Pour les syndicats, il était d’autant plus important d’exprimer leur présence, car selon eux, les problèmes de leur secteur d’activité sont de plus en plus notables. Daniel Volpe, délégué syndical au CEA Cadarache, estime que « le problème est partout en France ».
« Mais il est d’autant plus présent dans l’industrie nucléaire, où la sous-traitance approche à grands pas. Nous avons de plus en plus de métiers sensibles, où le principal, CEA, perd progressivement la maîtrise et donc les compétences.
Une action syndicale d’autant plus frappante, car le président n’est pas venu seul. Il était accompagné du Premier ministre indien Narendra Modi, mais pour les manifestants, il n’y a pas beaucoup d’espoir à avoir des réponses à leurs attentes.
« Non, nous ne pensons pas que nous sommes entendus, mais nous devons montrer aux employés que nous sommes là est important », explique Philippe Venobre. « C’est la théorie du colibri, je ne sais pas si cela servira mais nous sommes ici, nous faisons notre travail en étant présent », ajoute Daniel Volpe.
Notez qu’une délégation de l’Union départementale, y compris les membres de l’Union locale Saint-Paul Cadarache Iter, doit être reçue par le président de la République ce mercredi soir à Marseille.
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