Divertissement

découvrez ce qui est arrivé à sa dernière maison

Voilà plus de quarante ans que Louis de Funès nous a quittés. Et pourtant, il reste une légende du cinéma français. Loin du tumulte parisien, c’est dans un château de Nantes qu’il a fini ses jours. Découvrez ce qu’est devenue cette majestueuse propriété.

Zoom sur le château de Clermont au Cellier

Le château de Clermont au Cellier était le symbole de l’amour entre Louis de Funès et sa seconde épouse Jeanne. Interrogé par France 3 RégionsMarylène Poul, une amie proche de l’acteur, déclare : « Au début de sa relation avec Jeanne, sa seconde épouse, il empruntait occasionnellement ce chemin pour la rejoindre très discrètement dans le château. » Nous apprenons également que l’inoubliable Louis de Funès était un écologiste avant l’heure, amoureux de la nature.

Le moins que l’on puisse dire, c’est qu’il avait de quoi se réjouir. cette majestueuse propriété. Pendant une vingtaine d’années, l’homme que le cinéma français n’oubliera jamais, aimait se promener dans les bois ou près de la Loire. aidé par ses jardiniersce dernier prenait grand soin de son parc, la roseraie du château.

Un quartier adoré des Nantais

Il y a quelques années, nous apprenions dans les colonnes de Ouest de la France que le château avait été transformé en quarante et un appartements. En fait, c’est en 2005 qu’un entrepreneur immobilier acheta le château pour le transformer en logement privé. Après cela, le parc est resté accessible au public.

Quant à la roseraie, rachetée par Alain Piquet, elle est depuis longtemps traitée avec le plus grand soin. Mais depuis lors, les quarante hectares du Château de Clermont ont été acheté par Safer (Société d’Aménagement Foncier et d’Habitat Rural).

Le parc Louis de Funès est à vendre

Là encore, la société privée n’entend pas rester propriétaire ad vitam æternam de la forêt. Après la signature de la vente le 22 février, un appel à candidatures a été lancé pour trouver des acheteurs potentiels. Afin d’assurer la protection des locaux, ils ont expliqué : « La revente des marchandises par Safer sera accompagnée despécifications à respecter par le(s) lauréat(s). »

Avant d’ajouter : « Il fournira un certain nombre d’engagements « en termes d’utilisation agricole et de préservation des principaux enjeux environnementaux du site. » De son côté, le maire de la commune a expliqué à nos confrères pourquoi l’achat du parc était impossible : « (…) Nous sommes une petite communauté (…) Il y avait le problème de l’entretien du parc et de la préservation des personnes qui le fréquentent. Mettre des barrières sur la carrière pour éviter que les gens ne tombent. Les mairies sont responsables à partir du moment où cela devient public. Pour l’instant, la vente du parc n’est pas finalisée, mais un fan de Louis de Funès pourrait, qui sait, se manifester.

Malagigi Boutot

A final year student studying sports and local and world sports news and a good supporter of all sports and Olympic activities and events.
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